Käännös "una vez que llega" ranskan
Una vez que llega
Käännösesimerkit
Cada vez que llega, esperamos que sólo sea una tormenta y nos cuesta reconocerlo.
Chaque fois qu'il arrive, nous espérons qu'il ne s'agit que d'une tempête et avons du mal à le reconnaître.
Un poco de razón tiene porque ya van dos veces que llego a la una y Jordi todavía está durmiendo.
Elle n'a pas tout à fait tort parce que ça fait déjà deux fois que j'arrive à une heure et que Jordi dort encore.
Escuchan música zarma con cascos carísimos, a veces Loïc llega y le da la impresión de que es un gag.
Ils écoutent de la musique zarma avec des casques hors de prix, des fois Loïc arrive, il a l’impression que c’est un gag.
Das un paso, luego dos pasos, luego tres, cuatro…, y reseteas tu odómetro mental a cero cada vez que llegas a nueve.
On fait un pas, puis deux, puis trois, puis quatre et on ramène le compteur mental à zéro à chaque fois qu’on arrive à neuf.
Las dos veces, cuando llega, lo sorprende la metamorfosis que se ha operado en su madre: está rozagante, serena, como recién salida de alguna clase de baño floral milagroso, vestida como para salir, y le ofrece desayunar juntos.
Les deux fois, lorsqu’il arrive, il est surpris par la métamorphose qui s’est opérée chez sa mère : elle est rayonnante, sereine, comme si elle émergeait d’une sorte de bain floral aux propriétés miraculeuses, habillée comme pour sortir et lui proposant de prendre le petit déjeuner ensemble.
—Su entusiasmo es divertido, esa enorme sonrisa cada vez que llega del televisor a la mesilla, como si acabara de ganar la maratón, recibir una medalla de oro y un beso de miss América, de camino a Disney World.
- Ma foi, l'enthousiasme qu'il manifeste pour ce genre d'exercice fait plaisir à voir, ce grand sourire chaque fois qu'il arrive à rallier la table basse depuis la télé, comme s'il venait de remporter le marathon, de décrocher la médaille d'or, un baiser de Miss Amérique et son billet pour Disneyland.
Cada vez que llega al final de la línea, Bayard acciona con su mano derecha la palanca que hace retornar el carro del cilindro; al mismo tiempo, con un movimiento de la mano izquierda, agarra una taza de café, bebe un sorbo, echa una calada al cigarrillo y vuelve a ponerlo en el borde de un cenicero amarillo con el logo de Pastis 51.
Chaque fois qu’il arrive en fin de ligne, Bayard actionne de sa main droite la manette pour faire revenir le rouleau pendant que, dans un mouvement de la main gauche, il attrape sa tasse de café, boit une gorgée, tire une bouffée de cigarette et repose sa cigarette sur le bord d’un cendrier jaune au logo Pastis 51.
Cada vez que llego y me encuentro en medio de esa vasta diputación de la Humanidad que está siempre queriendo entrar en Nueva York me imagino el Valle de Josafat y el fin del mundo, y los funcionarios uniformados que nos apacientan, nos maltratan, nos revisan los pasaportes, nos envían a gritos de una cola a otra, me parecen los ángeles guardianes de esa especie de paraíso entre monetario y teológico que son los Estados Unidos para tantos millones de inmigrantes posibles y reales, de tanta gente en cualquier lugar de la Tierra que tiene la imaginación intoxicada por el cine norteamericano y confunde sus propios sueños con los que les dictan las películas.
Chaque fois que j’arrive et que je me trouve au milieu de cette vaste délégation de l’humanité qui toujours veut entrer à New York, je m’imagine la vallée de Josaphat et la fin du monde, et les fonctionnaires en uniforme qui nous alignent comme du bétail, nous maltraitent, examinent nos passeports, nous expédient à grands cris d’une queue à l’autre me semblent être les anges gardiens de cette espèce de paradis mi-monétaire mi-théologique que sont les États-Unis pour tant de millions d’immigrants hypothétiques ou réels, pour tant de gens qui, n’importe où sur la terre, ont l’imagination intoxiquée par le cinéma nord-américain et confondent leurs propres rêves avec ceux que leur dictent les films.
Sin embargo, cada vez que llega a una de esas cenas, cada vez que cae en una peña, una reunión, un homenaje, siempre con su gamulán, que recién muy tarde, «bajo la gestión Celso», como dice riéndose, consigue reemplazar por el saco de corderoy que lleva esa noche de verano en que él solo, en unas cuantas horas, se termina la botella entera de Ye Monks, y siempre con las manos vacías, las mismas manos sucias, con las cutículas despellejadas, que una y otra vez, cuando le abren la puerta y lo abrazan como a alguna clase de hijo pródigo, saca de los bolsillos y abre a los costados del cuerpo en señal de disculpa mientras dice: «Qué tarado.
Cependant, chaque fois qu’il arrive à un de ces dîners, chaque fois qu’il participe à un cercle d’amis, à une réunion, à un hommage, toujours avec son trois-quarts, qu’il ne parvient à échanger que beaucoup plus tard, « une démarche de Celso », comme il dit en rigolant, contre la veste de coton qu’il porte ce soir d’été pendant lequel, à lui tout seul, en quelques heures, il vide entièrement la bouteille de Ye Monks, et toujours avec les mains vides, les mêmes mains sales, aux cuticules pelées, que systématiquement, lorsqu’on lui ouvre la porte et qu’on le reçoit chaleureusement comme une sorte de fils prodigue, il tire de ses poches et écarte de chaque côté de son corps en guise d’excuse tout en disant : « Quel imbécile.
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