Samankaltaiset kontekstilausekkeet
Käännösesimerkit
Era imposible superar a Rory.
Il n’y avait pas moyen de battre Rory.
Los necesarios para superar el récord.
C’est ce qu’il faut faire pour battre le record.
tardará mucho tiempo en superar a Hugo.
Pour le moment, il n'est pas près de battre Hugo.
No había forma de que pudiera superar a Rudy en una pelea.
Je ne pouvais pas espérer battre Rudy au corps à corps.
—Porque quiero superar el récord —dijo Orest.
— Parce que je veux battre le record, dit Orest.
Es muy satisfactorio superar a un padre a quien no se ha perdonado.
Quelle douce revanche que de battre sur son propre terrain un père à qui l’on n’avait pas tout à fait pardonné !
Soul City no podía superar a Parolando.
Jamais Soul City ne pourrait battre Parolando dans une course aux armements.
—¿Cómo puede alguien arriesgarse a morir por superar un récord?
— Pourquoi avez-vous envie de vous faire tuer juste pour battre un record ?
No conozco ningún placer semejante al de superar mis propios récords.
Je ne connais aucun plaisir qui vaille celui de battre ses propres records.
-Con la ayuda de Saphira, sí, creemos que podemos igualar o superar a Espina y a Murtagh.
— Avec l’aide de Saphira, nous pensons les tenir en échec, voire les battre.
Estoy jodido. Es imposible que consiga superar la puntuación de Halliday al primer intento.
Je suis foutu ! Comment voulez-vous que je batte le meilleur score de Halliday du premier coup ?
Thomas descubrió que necesitaba unos instantes para superar una sensación de pánico tan profunda que lo mantenía inmóvil en aquel lugar.
Il fallut à Thomas deux ou trois battements pour surmonter un sentiment de panique si intense qu’il en demeurait figé sur place.
—le preguntó a Kainene. —Tenemos que conseguir superar el ataque principal antes de que avancen, Richard —dijo mientras guardaba en el bolso dos gruesos sobres.
– Il faut qu'on batte de vitesse le raid principal, Richard, dit Kainene, qui fourra deux grosses enveloppes dans son sac.
Hincado de rodillas, huesudas y temblorosas, en un saliente de granito cubierto de fragmentos de hielo malévolos, quebradizos y filosos como una hoja de afeitar, las manos entrelazadas con fuerza, la cabeza en el extremo de su cuello largo, muy largo y delgado, inclinada hacia la cima nevada de la montaña sagrada Mount Blanc, los ojos llorosos y entornados para protegerse del viento que rugía en aquel cielo azul turquesa, todo claridad e inocencia, Jedediah oyó, por encima del ritmo agudo y percusor de su propia voz (que casi nunca elevaba, casi nunca oía en alto salvo en momentos de impaciencia e impotencia, cuando se peleaba con el espíritu de la montaña que habitaba en su claro con toda impertinencia y crueldad, o incluso en su propia cabaña, con la apariencia de la joven esposa de su hermano…, porque sin haberlo elegido conscientemente, Jedediah comenzó una noche a responder las preguntas insinuantes del espíritu, y después a reaccionar, a veces con exasperación y rabia, a sus proposiciones descabelladas: ¡sí, tendrían que desnudarse y tirarse al agua oscura de allá abajo!…, ¡tendrían que aullar y rasguñarse y rodar por el claro, bajo la luna llena!)…, arrodillado en su saliente de granito, cabizbajo, su voz resonando como cada mañana al salir el sol, tal vez ayudándolo a superar su reticencia a salir, oyó, medio latido después de cada una de sus palabras, de las sílabas de sus palabras desafiantes, un eco, un eco débil, apenas perceptible y burlón que tenía una voz desconocida para él: y se calló de inmediato.
Ses genoux osseux, tremblants, posés sur une corniche de granit sillonnée de méchantes arêtes de glace, coupantes comme des lames de rasoir, les mains jointes l’une contre l’autre, sa tête au long, très long cou décharné tendue vers le sommet polaire de la montagne sacrée, le mont Blanc, ses yeux larmoyants mi-clos, contre le vent qui tourbillonnait dans le ciel bleu turquoise, innocent et limpide, il entendit, au-delà des rythmes aigus, percutants de sa propre voix (qu’il élevait si rarement, qu’il entendait si rarement résonner, sauf dans les moments d’impatience et d’impuissance où il se querellait avec l’esprit de la montagne qui, impertinent et impitoyable, habitait sa clairière, sinon sa cabane, en permanence, sous la forme de la jeune femme de son frère – car sans le décider consciemment Jedediah avait commencé, un soir, à répondre aux questions coquettes de l’esprit, puis à réagir, parfois avec exaspération et rage, à ses propositions bizarres : ils devaient tous les deux se déshabiller et plonger nus dans l’eau sombre qui se précipitait en bas ! – ils devaient hurler et se déchirer et rouler ensemble dans la clairière, à la pleine lune !), agenouillé sur sa corniche de granit, la tête courbée, sa voix retentissant comme tous les matins au lever du soleil, l’aidant peut-être dans son ascension pénible, il entendit, un battement de cœur après chaque mot, chaque syllabe de ses mots pleins de défi, l’écho, un léger écho moqueur, presque inaudible, d’une voix qui lui était absolument inconnue – et qui se tut immédiatement.
Böll, Grass y Johnson son los ganadores…»— y al mismo tiempo superar, girando rápidamente, nuestro presentimiento: ahora acaba algo, ahora empieza algo, ahora tenemos un nombre, y eso con piernas elásticas, muy apretados o a la distancia de las yemas de los dedos, porque aquel murmullo de los salones de la Feria —«Billar, Conjeturas, Tambor de hojalata…»— y el susurro de aquella fiesta —«por fin ha nacido la literatura alemana de la posguerra…»— o bien partes militares «a pesar de Friedrich Sieburg y el Frankfurter Allgemeine Zeitung, hemos logrado romper el frente…»— sólo podían oírse de pasada, locos por la música y sueltos, porque el Dixieland y el latido de nuestros corazones eran más fuertes, nos daban alas y nos hacían ingrávidos, de forma que el peso del novelón —setecientas treinta páginas— se había suspendido en el baile y nosotros ascendíamos de edición en edición, quince, no, veinte mil, y entonces Anna, cuando alguien gritó: «¡treinta mil!», y conjeturó contratos con Francia, el Japón y Escandinavia, de pronto, como estábamos sobrepasados por el éxito y bailábamos desprendidos del suelo, perdió su combinación de tres volantes, ribeteada con una tira de ganchillo, cuando el elástico cedió o perdió, como nosotros, toda inhibición, con lo que Anna, liberada, flotó sobre la prenda caída, la empujó con la punta del pie libre hacia donde teníamos espectadores, gente de la Feria, lectores incluso que, por cuenta de la editorial (Luchterhand), celebraban el que era ya un best-seller gritando: «¡Oskar!», «¡Está bailando Oskar!»; pero no era Oskar Matzerath quien, con una señora de la central telefónica, hacía una exhibición de Jimmy the Tiger, sino que éramos, compenetrados en el baile, Anna y yo, que habíamos dejado a Franz y Raoul, sus hijitos, con unos amigos y habíamos venido en tren, concretamente desde París, en donde, en un cuchitril húmedo, yo había alimentado con carbón la calefacción de nuestras dos habitaciones y, ante unas paredes que chorreaban, había escrito capítulo tras capítulo, mientras Anna, cuya combinación caída era heredada de su abuela, sudaba diariamente en la barra de ballet de Madame Nora en la Place Clichy, hasta que yo mecanografié las últimas páginas, envié las pruebas de imprenta corregidas a la editorial, a Neuwied, y pinté también la cubierta del libro con un Oskar de ojos azules, de forma que el editor (Reifferscheid se llamaba) nos invitó a la Feria del Libro de Francfort para que los dos pudiéramos vivir, saborear, pregustar y regustar el éxito;
Böll, Grass, Johnson sont en tête… » – et de surmonter aussi notre pressentiment, ça y est, quelque chose se termine, quelque chose commence, ça y est, nous avons un nom, en tournant très vite sur des jambes en caoutchouc, étroitement serrés l’un contre l’autre ou très loin du bout de nos doigts, car on ne pouvait fermer les oreilles à ce bourdonnement de la Foire – « Billard, Conjectures, Tambour… », à ces chuchotements de soirées chics – « La voilà enfin, la littérature allemande d’après-guerre… » – ou aux communiqués militaires – « Malgré Sieburg et la Frankfurter, la percée est enfin réussie… » –, qu’ainsi, drogués par la danse, déchaînés, parce que le dixieland et le battement de nos cœurs étaient plus forts, nous donnaient des ailes et nous enlevaient toute pesanteur, si bien que le poids du pavé – gros de sept cent trois pages – était emporté par la danse et que nous montions de tirage en tirage, quinze, non, vingt mille, et qu’Anna, quand quelqu’un cria « Trente mille ! » en envisageant des contrats avec la France, le Japon, la Scandinavie, soudain, comme nous surenchérissions : encore sur ce succès même et dansions maintenant sans adhérer au sol, perdit son jupon bordé de dentelles à son bord inférieur et garni de trois étages de ruchés parce que l’élastique avait claqué ou avait perdu tout contrôle en même temps que nous, de sorte qu’Anna, comme libérée, s’envola de la lingerie à terre et l’envoya du bout du pied vers les marges où nous avions des spectateurs, gens de la Foire, parmi lesquels des lecteurs même, qui fêtaient avec nous aux frais de l’éditeur le déjà best-seller et criaient « Oscar ! », mais ce n’était pas Oscar Matzerath qui exécutait sur la piste « Jimmy the Tiger » en compagnie d’une demoiselle du téléphone, c’étaient, chauffés par la danse, Anna et moi, qui avions laissé chez des amis Franz et Raoul, nos jeunes fils, et étions venus en train, de Paris, où dans un trou humide je nourrissais de coke le poêle qui chauffait nos deux pièces et où j’avais écrit devant le mur dégoulinant chapitre après chapitre, tandis qu’Anna, dont le jupon qui avait chu était un héritage de sa grand-mère, suait tous les jours à la barre de Madame Nora, place Clichy, jusqu’au moment où j’avais tapé les dernières pages, renvoyé les épreuves à Neuwied et même fini de dessiner la couverture du livre, avec un Oscar aux yeux bleus, si bien que l’éditeur (il s’appelait Reifferscheid) nous invita à la Foire du livre de Francfort, pour que nous puissions, à deux, vivre, savourer, saliver à l’avance et remâcher ensuite le succès ;
La hegemonía había ido aumentando a medida que la producción crecía, hasta superar los cien millones de dólares por año en los últimos tiempos.
L’hémorragie avait grandi au rythme de la production, pour finalement dépasser les cent millions de dollars par an dans les derniers temps.
La sociedad pudo superar el problema refrenando su ritmo y abandonando algunos medios de transporte rápidos, tales como el aeroplano y el automóvil.
La société surmonta le problème en ralentissant son rythme et en renonçant à certains moyens de transport rapide, comme l’avion et l’automobile.
Y, por si todo ello no bastara, la riqueza de los Rosamundi se había encargado de superar todas las trabas, hasta conseguir que la reclamación llegara hasta la más alta instancia de la Iglesia.
Bien entendu, la grande richesse des Rosamundi ne pouvait qu’arranger les choses et accélérer le rythme des investigations.
No había razones tan poderosas que pudieran superar las ansias de estar en armonía con las mareas y el curso de las estaciones y los ritmos subyacentes a todo cuanto me rodeaba.
Aucune raison n’était assez puissante pour outrepasser le désir d’être en accord avec les marées, le passage des saisons et les rythmes sous-jacents à tout ce qui m’entourait.
Repito maquinalmente oraciones interminables, porque la cadencia de los rezos, más que cualquier forma de fe inquebrantable, me ayuda a superar el miedo y los ataques de desesperación.
Comme un robot, je débite d’interminables prières car, plus qu’une foi inébranlable, le rythme de la prière m’aide à résister aux crises de désespoir et d’angoisse face à la mort.
Mi corazón latía al ritmo de la música cuando logré superar la mitad intacta del laberinto. Acto seguido me aventuré en el árido terreno de la mitad derecha, guiando a Pac-Man a través de la pixelada mermada memoria del juego.
Mon cœur battait au rythme de la musique tandis que je nettoyais la moitié intacte du tableau, puis je me suis aventuré sur le terrain chaotique à droite de l’écran, guidant Pac-Man à travers les déchets pixellisés de la mémoire saturée du jeu.
Riordan escogió su momento cuidadosamente. Sabía que no podría superar a Wingham, porque el viejo semiorco era demasiado listo para dejarse sorprender por un hombre con una bien ganada reputación como Riordan, y se dio cuenta de que Wingham mostraba mucho interés por Arrayan, que, según había sabido Riordan, era su sobrina. Cuando estimó que se iban quedando por el camino un buen número de parroquianos, el bardo cambió el ritmo de sus canciones. En ese momento ya apuntaba el alba, y empezó a tocar cosas...
Il savait qu’il ne pourrait pas tromper Wingham, car ce dernier était bien trop roublard pour se laisser avoir par un homme de la réputation, justifiée, de Riordan ; qui plus est, le musicien avait remarqué que le demi-orque n’était pas insensible à Arrayan, sa nièce. Lorsqu’il trouva qu’un nombre suffisant de clients avaient roulé sous la table, il changea de rythme. Dans ces heures du petit matin, tout doucement, Riordan commença à ralentir…
Delante de nosotros sonaban unas risas alegres infantiles, mientras un perro ladraba y, aún más lejos, conseguí distinguir unas voces que cantaban siguiendo el ritmo de los martillos: «Oíd los golpes de martillo, oíd los clavos que no cesan». No tardé mucho en imaginarme a intrépidos deshollinadores con sombreros de copa paseando por la calle, rebosantes de un tosco encanto, y a personas que formaban una piña para superar el destino que les había tocado en suerte, con un guiño y una canción. No podía evitarlo.
Devant nous, des enfants hurlaient de rire, tandis qu’un chien aboyait. Dans le lointain, des voix ont entonné un chant rythmé par des coups de marteau : « Oyez le tap-tap des marteaux, des marteaux qui plantent les clous ! » Il ne m’en fallait pas davantage pour imaginer de courageux charpentiers coiffés de hauts-de-forme qui dévalaient en bande les rues pittoresques, chantant à tue-tête pour oublier leurs conditions de vie pénibles.
A pesar de tener un talento innato para los videojuegos, o eso decían, conseguir siquiera superar la barrera de los cien primeros me había costado tres años de práctica diaria. Una vez superado ese umbral, fue como si le hubiera cogido el ritmo, y los meses siguientes conseguí realizar una escalada meteórica hacia los diez mejores mientras también aumentaba mi rango en la Alianza de Defensa Terrestre. Logré una promoción tras otra hasta ascender a la graduación de teniente.
J’ai un don pour les jeux vidéo, on me l’a toujours dit, mais il m’a quand même fallu plus de trois ans de pratique quotidienne pour me retrouver dans les cent premiers. Après avoir franchi ce cap, j’ai enfin trouvé mon rythme, et dans les mois qui ont suivi, je me suis élevé à toute vitesse dans le classement jusqu’à me retrouver dans le top ten. En parallèle, je montais en grade au sein de l’Alliance de Défense Terrestre. Au point que j’ai fini par me retrouver lieutenant.
Era muy despierto y logró superar el rechazo que sienten todas las personas jóvenes y sanas cuando se codean con la muerte.
Il était doué et avait réussi à se libérer du malaise qui frappe les jeunes gens bien portants quand ils entrent en contact avec la mort.
—La presencia de una lechuza —explicó David— significa que tenemos la oportunidad de superar cualquier engaño de los demás, y si evitamos la tendencia a dañar o atacar, podemos, como la lechuza, atravesar la oscuridad para sostener una verdad superior.
- La présence d'une chouette, expliqua David, signifie que nous avons l'occasion de démasquer toute tromperie chez les autres. Si nous évitons de les blesser ou de les frapper, nous pouvons, comme la chouette, percer l'obscurité et capter une vérité supérieure.
Los tripulantes del Worcester anhelaban superar al Orion y al Canopus, y puesto que esperaban que asistiera gran cantidad de público porque el almirante había dicho públicamente que daba su beneplácito a la representación, era fundamental causarle mucha impresión, y los trajes contribuirían a ello.
et comme un large public était attendu, l’amiral ayant exprimé publiquement et de manière emphatique son approbation de l’oratorio, il était absolument essentiel que ce public soit profondément frappé : des costumes élégants et raffinés devaient avoir leur part dans le choc.
Y a lo mejor también algo para los otros dos. Durante un rato no se le ocurrió nada que superara lo que ya había hecho. Entonces una avispa la pasó zumbando cerca y Moraine siguió con la vista su vuelo hacia los árboles que flanqueaban la calzada. Avispas, claro; pero no quería matarlo.
Sans épargner les deux autres faquins, cette fois… Au début, rien ne vint à Moiraine. Elle avait déjà frappé assez fort, il fallait bien l’admettre. Puis une guêpe passa en bourdonnant à côté de sa joue, et elle la regarda disparaître entre les arbres, sur le bas-côté de la route. Oui, oui… Mais il ne s’agissait quand même pas de tuer le malotru.
Incluso aquel reportero sin escrúpulos, Don Smart, había osado llamar a su puerta; no le costó mucho despedir a Smart con cajas destempladas, pensó con una sonrisa de amargura. Era cruel ironía que el afecto por otro ser que antaño le había servido para superar la situación fuese el mismo que ahora le impulsaba a revivirla.
Même Don Smart, ce renifleur de cadavres, avait cru avoir le droit de frapper à sa porte. Cette demande-là, pensa George avec un sourire amer, n'avait pas été difficile à repousser. Et, ô ironie, l'amour paternel qui lui avait permis d'aller de l'avant le conduisait maintenant à sa perte.
El drow lo superaba con facilidad, y mientras se ladeaba a la derecha del enano consiguió superar la defensa del escudo y le dio un golpe en la sien con la empuñadura de la cimitarra. Continuó con un fuerte gancho de izquierda mientras completaba la vuelta, y el sorprendido enano ya no ofreció la menor resistencia cuando puño y empuñadura a un tiempo lo golpearon en plena cara.
Le drow l’évita facilement en accompagnant sa frappe, se positionna sur son flanc droit et lui administra un coup puissant à la tempe avec le pommeau de son cimeterre droit. Il lui assena également un violent crochet du gauche et le nain ne put rien faire pour y échapper.
—Cuando nos enteramos de que el señor había muerto, nos quedamos todos de piedra. Yo me puse a gritar, lo mismo que Beatrice. Las jóvenes también estaban muy afectadas. El señor Ellis, naturalmente, no estaba tan excitado como nosotras, él era nuevo en la casa. Sin embargo, se comportó de una manera muy considerada y nos hizo tomar a Beatrice y a mí unos vasitos de oporto para superar la impresión.
— Quand on nous apprit que notre maître était mort, tous nous sommes demeurés frappés de stupeur. Moi et Béatrice, nous ne pouvions nous empêcher de pleurer. Les jeunes, cela va de soi, étaient émues, mais pas trop bouleversées. Ellis paraissait moins remué que nous, car il était nouveau dans la maison, mais il se montra très gentil et insista pour que Béatrice et moi prenions un petit verre de porto pour nous remettre d’aplomb.
A medianoche (¿veintidós días?, ¿veintiuno?), la linterna se queda sin pila. La reemplazo por la de Viola con la esperanza de que la suya no nos falle. Las horas pasan y las colinas se vuelven más empinadas y difíciles de superar, pero nosotros proseguimos, y Manchee, ante mí, olisquea y recibe de vez en cuando un poco de carne ahumada, y yo, entre toses y traspiés, procuro abreviar cuanto puedo los descansos, que a menudo consisten en que me apoye contra un árbol, y, cuando el sol comienza a insinuarse en el horizonte, tengo la impresión de estar caminando hacia el amanecer.
Un autre minuit vient (Vingt-deux jours ? Vingt et un ?), et la pile de ma lampe finit par lâcher. Je prends celle de Viola mais c’est la dernière. Encore plus de collines et plus raides aussi, pendant qu’on avance à travers la nuit, plus difficiles à escalader, plus dangereuses à descendre, mais on avance, et on avance et on avance, Manchee flairant, mangeant la viande séchée de Wilf pendant qu’on trébuche en avant, moi toussant comme un perdu, prenant les plus petites pauses possibles, plié en deux contre un arbre, et puis le soleil commence à monter derrière une colline, alors c’est comme si je montais vers l’aube. Et c’est quand la lumière nous frappe en plein que je vois le monde se mettre à vibrer.
El libro parece una hagiografía y en ocasiones no es veraz ni generoso al hablar del enemigo, pero el autor conoció a muchos supervivientes del bando británico (incluido el señor Wallis que aparece en estas páginas como un joven, quien llegó a convertirse en sir Provo Wallis, almirante de la Armada real, y permaneció largo tiempo en la lista de oficiales en activo y vivió cien años) y con una precisión más propia de un médico que de un pastor, da detalles sobre todos los disparos con balas redondas, balas de cadena y metralla que alcanzaron las fragatas que tomaban parte en la batalla. Indudablemente, mi imaginación no pudo superar los hechos que ocurrieron en realidad durante las batallas y tampoco pudo encontrar mejor ejemplo del inglés hablado por un francés que las palabras de Anthelme Brillat-Savarin, que vivió en Estados Unidos tras la Revolución francesa (durante su estancia allí cocinaba ardillas con vino de Madeira). Quienes hayan leído su obra Physiologie du goût podrán reconocer su ironía en uno de mis personajes.
C’est presque une hagiographie qui, à certains moments, manque un peu de franchise ou de générosité à l’égard de l’ennemi ; mais l’auteur a été en contact avec bon nombre des survivants britanniques (y compris le Mr Wallis qui apparaît dans ces pages tout jeune homme et qui vécut jusqu’à cent ans, amiral de la flotte Sir Provo Wallis, toujours sur la liste d’activé) ; avec un zèle convenant peut-être mieux à l’homme de médecine qu’au pasteur, il rend compte de chacun des boulets, barres ou grappes de mitraille ayant frappé les navires. Et de même que mon imagination ne pouvait surpasser les faits pour tout ce qui touche à ces batailles, elle n’a pu produire mieux que le langage d’Anthelme Brillat-Savarin, réfugié aux États-Unis au moment de la Révolution française (il y fit cuire des écureuils au madère) et dont les lecteurs de sa Physiologie du goût reconnaîtront immédiatement l’éclat, bien que je l’aie placé dans la bouche de l’un de mes personnages.
La cara del buen señor del quinto piso en robe de chambre, golpeándole la puerta, una cara glacial, quelqu’un vous demande au téléphone, Oliveira confuso metiéndose en una tricota, subiendo al quinto, encontrando a una señora resueltamente irritada, enterándose de que el pibe Hermida estaba en París y a ver cuándo nos vemos, che, te traigo noticias de todo el mundo, Traveler y los muchachos del Bidú, etcétera, y la señora disimulando la irritación a la espera de que Oliveira empezara a llorar al enterarse del fallecimiento de alguien muy querido, y Oliveira sin saber qué hacer vraiment je suis tellement confus, madame, monsieur, c’était un ami qui vient d’arriver, vous comprenez, il n’est pas du tout au courant des habitudes… Oh Argentina, horarios generosos, casa abierta, tiempo para tirar por el techo, todo el futuro por delante, todísimo, vuf, vuf, vuf, pero dentro de los ojos de eso que estaba ahí a tres metros no habría nada, no podía haber nada, vuf, vuf, toda la teoría de la comunicación aniquilada, ni mamá ni papá, ni papa rica ni pipí ni vuf vuf ni nada, solamente rigor mortis y rodeándolo unas gentes que ni siquiera eran salteños y mexicanos para seguir oyendo música, armar el velorio del angelito, salirse como ellos por una punta del ovillo, gentes nunca lo bastante primitivas para superar ese escándalo por aceptación o identificación, ni bastante realizadas como para negar todo escándalo y subsumir one little casualty en, por ejemplo, los tres mil barridos por el tifón Verónica.
La gueule de son logeur, en robe de chambre, venant frapper à sa chambre l’air glacial, quelqu’un vous demande au téléphone, Oliveira confus enfilant un pull-over, descendant au quatrième étage pour trouver une dame franchement agacée, pour apprendre que le gars Hermida était à Paris, alors quand est-ce qu’on se voit, je t’apporte des nouvelles de tout le monde, de Traveler et des copains du Bidu, et la dame cachait mal son irritation puisque Oliveira ne se mettait pas à pleurer, qu’il n’avait pas appris la mort d’une personne chère, et Oliveira ne savait plus où se mettre, vraiment, madame, je suis tellement confus, c’est un ami qui vient d’arriver de Buenos Aires, il ne connaît pas les usages, vous comprenez. O Argentine, horaires généreux, maisons ouvertes, temps qu’on pouvait jeter par la fenêtre, tout l’avenir devant vous, tout, tout l’avenir, vouf ! vouf ! mais dans les yeux de ce qui était là, à trois mètres de lui, il n’y avait rien, il ne pouvait rien y avoir, vouf ! vouf !
Habían tenido tiempo de superar su miedo.
Ils avaient eu le temps de digérer leur trouille.
Tardé un poco en superar mi sorpresa.
Il me fallut du temps pour revenir de ma surprise.
Esperó paciente a que superara su timidez.
Il lui laissa le temps de surmonter sa timidité.
Necesitaría tiempo y fuerzas para superar ese golpe.
Il lui faudrait du temps et de la force pour la surmonter.
Así ganaba tiempo para superar la indisposición.
Cela lui donnait le temps de surmonter la faiblesse.
Es una lástima, pero confío en que logren superar ese contratiempo.
C'est dommage, mais je suis sûr que vous saurez rattraper le temps perdu.
Tardó mucho tiempo en superar la muerte de su Anna.
Il a mis du temps à se résigner à la mort d’Anna.
—Va a necesitar un tiempo para superar lo de Festo.
– Il a besoin de temps pour se remettre de la perte de Festus, expliqua-t-elle.
Fue duro, pero logramos superar el lento transcurrir del tiempo.
Dur-dur, mais on arriva quand même à passer le temps.
Pero no pude superar el desasosiego, las palpitaciones en el pecho y en mis sienes.
Mais je n’ai pu surmonter mon malaise, les palpitations dans la poitrine et aux tempes.
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