Käännös "que se mantuvo en" ranskan
Käännösesimerkit
Yo me mantuve apartado.
Moi, je suis resté à l’écart.
Él mantuvo la calma.
Lui, il est resté calme.
Yo me mantuve firme.
Je suis resté ferme.
Se mantuvo como un Sonnenkind;
Beaumont était resté un Sonnenkind ;
Todo eso se mantuvo en secreto.
Tout cela est resté caché.
Los mantuve con vida.
Grâce à moi, ils sont restés en vie.
Pero se mantuvo al teléfono.
Mais il se força à rester au téléphone.
Se mantuvo apartado.
Il est resté très discret.
Yo la mantuve con vida.
C’est grâce à moi qu’elle est restée en vie.
Pero el nombre «Junior» se mantuvo.
Mais « Junior » était resté.
Su visita se mantuvo en secreto para evitar cualquier molestia por parte de la prensa.
Son séjour avait été gardé secret pour éviter que les journalistes ne l’importunent.
Durante esos primeros días en la ciudad mantuve los oídos bien abiertos. Una y otra vez oí siempre la misma queja.
Au début de mon séjour, j’ouvris grand les oreilles. Des plaintes incessantes se faisaient entendre.
Su padre hubiera preferido que volviese a la casa de la calle Mercer al terminar su convalecencia, pero el «consejero» de Susan en el instituto mantuvo con ella largas conversaciones sobre la madurez: cuando iban a darla el alta, la persuadió de que volviera al apartamento de Park Avenue con la Setenta y nueve e «intentase vivir sola».
Son père aurait préféré qu’elle revint à la maison de Mercer Street après sa convalescence, mais le « conseiller » de l’Institut avait eu avec elle de longues conversations sur la maturité et, à la fin de son séjour, l’avait convaincue de retourner dans l’appartement de Park Avenue et de la 79e Rue et de « faire un essai de vie autonome ».
Él me habló de los investigadores de Scotland Yard que el gobierno contrató en 1948 para supervisar las investigaciones, y de la breve correspondencia que mantuvo muchos años después con uno de ellos: un tipo muy cortés que recordaba con indignación fresca los días remotos de su visita a Colombia, cuando el gobierno les pedía resultados diarios a los investigadores y al mismo tiempo parecía ponerles todos los obstáculos del mundo.
Il m’a raconté qu’en 1948 le gouvernement avait engagé des agents de Scotland Yard pour superviser l’enquête, m’a touché mot de la brève correspondance qu’il avait entretenue bien des années plus tard avec l’un d’eux, un type très poli qui se rappelait parfaitement, encore indigné, les jours lointains de son séjour à Bogotá et la manière dont le gouvernement exigeait des résultats quotidiens de la part des inspecteurs, tout en leur mettant des bâtons dans les roues.
Lucile se convirtió en esa mujer frágil, de belleza singular, divertida, silenciosa, a menudo subversiva, que durante mucho tiempo se mantuvo al borde del abismo, sin apartarlo completamente de su vista, esa mujer deseada, que suscitó pasiones; esa mujer fracturada, herida, humillada, que perdió todo en un día y estuvo varias veces en un hospital psiquiátrico, esa mujer inconsolable, culpable a perpetuidad, encerrada en su soledad.
Lucile est devenue cette femme fragile, d’une beauté singulière, drôle, silencieuse, souvent subversive, qui longtemps s’est tenue au bord du gouffre, sans jamais le quitter tout à fait des yeux, cette femme admirée, désirée, qui suscita les passions, cette femme meurtrie, blessée, humiliée, qui perdit tout en une journée et fit plusieurs séjours en hôpital psychiatrique, cette femme inconsolable, coupable à perpétuité, murée dans sa solitude.
la ola de calor llegó a su punto culminante y se mantuvo en él durante tanto tiempo que toda la ciudad, sus edificios, sus ríos y canales y sus habitantes se aproximaron peligrosamente al punto de ebullición; entonces Mr. Billy Battuta y su compañera, Mimi Mamoulian, recién llegados a la metrópoli después de ser huéspedes de la autoridad penal de Nueva York, anunciaron una gran fiesta para celebrar su «salida». Los socios de Billy consiguieron que su causa fuera vista por un juez bien dispuesto;
et quand la vague de chaleur atteignit son maximum, et y resta si longtemps que la ville tout entière, ses édifices, ses voies fluviales et ses habitants, s’approchèrent dangereusement de leur point d’ébullition, – alors Mr Billy Battuta et sa compagne Mimi Mamoulian, récemment revenus dans la métropole après un séjour comme hôtes du système pénitentiaire new-yorkais, annoncèrent leur « grand bal des débutantes ». Les relations d’affaires new-yorkaises de Billy s’étaient arrangées pour que son procès passe devant un juge bien disposé ;
Se mantuvo serena durante toda la tarde y la noche. A pesar de que sacaba una y otra vez los dos ejemplares del PERIÓDICO y enfrentaba a los Blorna, a Else W. y a Konrad B. con todos los detalles y con su interpretación de los mismos, su actitud hacia el PERIÓDICO parecía haber cambiado. O, para emplear términos al uso: se diría que predominaba en ella lo analítico sobre lo emotivo. Con el grupo de personas citadas, que le eran familiares y con quienes mantenía vínculos de amistad, también habló abiertamente en la sala de estar de Erwin Kloog acerca de sus relaciones con Sträubleder: una vez, después de una fiesta en casa de los Blorna, él la había acompañado a su casa, y a pesar de que lo rechazó severamente, casi con repugnancia, la siguió hasta el vestíbulo e incluso hasta su piso, llegando a impedirle, con el pie, cerrar la puerta. La importunó y se sintió ofendido porque ella no le consideraba en absoluto irresistible. Finalmente, pasada ya la medianoche, se marchó. Desde aquel día la persiguió con asiduidad, se presentó en su casa una y otra vez, le envió flores, le escribió cartas y, en alguna ocasión, logró penetrar en su piso.
Bien qu’elle ne cessât de tirer de son sac les deux numéros du JOURNAL pour en soumettre les moindres détails au jugement des Blorna, d’Else Woltersheim et de Konrad Beiters tout en leur confiant sa propre opinion, son attitude à l’égard du JOURNAL semblait avoir changé. En termes actuels : celle-ci paraissait moins émotionnelle, plus analytique. Dans la salle de séjour d’Erwin Kloog, au milieu de ce petit cercle d’intimes sur l’affection desquels elle savait pouvoir compter, elle évoqua ouvertement aussi ses rapports avec Sträubleder. Un soir, après une réception chez les Blorna, il l’avait ramenée chez elle en voiture puis, malgré son refus énergique et presque écœuré, il l’avait raccompagnée non seulement jusque dans l’immeuble mais même à l’intérieur de son appartement dont il avait coincé la porte du pied pour l’empêcher de la refermer sur lui. Il avait naturellement commencé par essayer de la séduire, puis, sans nul doute offensé de n’être pas trouvé irrésistible, avait fini – à minuit passé – par s’en aller. À dater de là, il n’avait cessé de la poursuivre de ses assiduités, revenant sonner à sa porte, lui envoyant des fleurs et des billets doux.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test