Käännös "que barren" ranskan
Samankaltaiset kontekstilausekkeet
Käännösesimerkit
Barren arena en el desierto.
Ils balaient le sable du désert.
Los reflectores barren la hierba y la noche y tal.
Des projos balaient la pelouse et la nuit, tout ça.
En el cielo, unas nubes blancas barren un insípido azul.
Des nuages blancs, dans le ciel, balaient un fade azur.
Mujeres con escobas barren celosamente el grano desperdigado.
Des femmes armées de brosses balaient soigneusement les grains épars.
Hay reflectores que barren el agua, iluminando a los que nadan, a los que se ahogan.
Des projecteurs balaient l’eau, éclairant des gens qui nagent, se noient.
Sus ojos verdes barren el paisaje de lado a lado, hasta que encuentra lo que está buscando.
Ses yeux verts balaient les alentours jusqu’à ce qu’il trouve ce qu’il cherche.
Las luces de los coches barren el suelo, las sombras se deslizan rápidamente a un lado.
Des feux de croisement balaient le sol et les ombres se dérobent immédiatement.
En cuanto veo una nube miro los parabrisas y me imagino que la barren.
Dès que je vois un nuage, je fixe les essuie-glaces et j’imagine qu’ils le balaient.
Pero hay personas que viven en castillos y otras que barren los excrementos de las monturas en las carreteras.
Pourtant il y a ceux qui vivent dans des châteaux et ceux qui balaient le crottin des montures sur les routes.
Cuando los hombres de servicio barren su celda, debe ocultarse detrás de un biombo.
Quand les hommes de service balaient son cachot, il se tient dissimulé derrière un paravent.
Hay otras que barren y friegan, lavan la ropa y hacen las demás tareas.
Il y a aussi ceux qui balayent et nettoient, font la lessive et tout le reste des corvées ménagères.
No era cosa de preocuparse aún por la hora exacta, pero unas mujeres barren y arrastran cubos en las proximidades de la habitación.
Il n’en est pas encore à se préoccuper de l’heure exacte mais des femmes balayent et remuent des seaux à proximité de sa chambre.
Los focos barren la zona, el helicóptero arde, los pelotones corren sin orden ni concierto, las ruedas de los Humvees chirrían por todas partes.
Des projecteurs balayent les lieux, l’hélico crame, les équipes s’éparpillent, les Humvee foncent dans toutes les directions.
Abren la tienda, barren, hacen paquetes, lavan, toman decisiones, atienden, cuentan, se guían por los computadores. Todos los días, todas las noches.
Ils ouvrent les magasins, ils balayent, emballent, lavent, réparent, entretiennent, comptent, alimentent les ordinateurs. Jour et nuit.
Las generaciones barren, a su paso, hasta el último vestigio de los ídolos que encuentran en su camino y se forjan nuevos dioses, que en su día también serán derribados.
Les générations balayent en passant jusqu’au vestige des idoles qu’elles trouvent sur leur chemin, et elles se forgent de nouveaux dieux qui seront renversés à leur tour.
Al regresar, se ven muchas más ventanas abiertas, mujeres que barren las entradas de sus casas, y se comprende así que para la mayoría de personas la vida comienza apenas y que todavía están impregnadas de la humedad de sus camas.
Au retour, on voit davantage de fenêtres ouvertes, de femmes qui balayent leur seuil, ainsi on sent que pour la plupart des gens la vie commence à peine et qu’ils sont encore englués de la moiteur des lits.
Atraviesan la ciudad muy rápido, la camioneta aullante toma las curvas inclinada, se saltan los semáforos, barren las prioridades con un revés orgulloso, no siguen más las reglas porque ya no es hora de seguir las reglas.
Ils traversent la ville bien trop vite, la camionnette hurlante prend ses virages penchée, ils brûlent les feux, ils balayent les priorités d’un revers de main orgueilleux, ils ne suivent plus les règles puisqu’il n’est plus temps de suivre les règles.
Por más que las calles estén vacías, con unos vientos helados que las barren de un extremo a otro, con unas ráfagas de lluvia y ese aire de abandono, de inutilidad, propio de un domingo de invierno, cuando Désiré camina siempre parece estar acompañado por una música que sólo él oye y que ritma su paso regular. Bajo el bigote, sus labios glotones se entreabren en una vaga sonrisa que sólo expresa un contento interior. Cruza el Mosa y no tarda en descubrir la Place Ernest-de-Bavière, con su talud de mampostería, y avanza hacia los grupos de guardias cívicos.
Les rues ont beau être vides, avec des vents glacés qui les balayent de bout en bout, des rafales de mouillé, cet air d’abandon, d’inutilité d’un dimanche d’hiver, Désiré, quand il marche paraît toujours accompagné d’une musique qu’il est seul à entendre et que scande son pas régulier. Sous les moustaches, ses lèvres gourmandes s’entrouvrent en un vague sourire qui n’exprime rien qu’un contentement intérieur, et il franchit la Meuse, découvre bientôt la place Ernest-de-Bavière au terre-plein de brique pilée, s’avance vers des groupes de gardes civiques.
Y mientras esperan, las viejas barren un poco como lo han hecho toda la vida, o zurcen o lavan o pelan papas o lo que haya que pelar o lavar, siempre que no se necesite mucha fuerza porque fuerza ya no queda, un día igual a otro, una mañana repitiendo la anterior, una tarde remedando las de siempre, tomando el sol sentadas en la cuneta de un claustro, espantando las moscas que se ceban en sus babas, en sus granos, los codos clavados en las rodillas y la cara cubierta con las manos, cansadas de esperar el momento que ninguna cree que espera, esperando como han esperado siempre, en otros patios, junto a otras pilastras, detrás de los vidrios de otras ventanas, o se entretienen cortando cardenales colorados para adornar el cajón de palo en que se llevaron a la Mercedes Barroso, para que no se vaya sin ni siquiera una flor la pobre Menche aunque no sean más que estos cardenales polvorientos, por Dios que era divertida cuando bailaba esos bailes que le enseñó la Iris Mateluna, frug, rock, y las otras huerfanitas y hasta nosotras llevando el compás palmoteando para que bailaran juntas, la Iris con la Menche… pobre Menche… de puro gorda se debe haber muerto la Mercedes Barroso una noche igualita a la que va a comenzar ahora.
Et en attendant, les vieilles balayent un peu, comme elles ont fait toute leur vie, ou raccommodent, ou lavent, ou pèlent des pommes de terre ou bien ce qu’il y a à laver ou à peler, pourvu que ça ne demande pas beaucoup de force, parce que, de la force, il ne leur en reste plus, leurs jours sont semblables, chaque matin est la répétition du précédent, chaque après-midi la copie de ceux de toujours, elles prennent le soleil assises dans le caniveau d’un cloître, elles chassent les mouches qui se gorgent de leur bave, de leurs boutons, les coudes cloués aux genoux et les mains couvrant leur visage, lasses d’attendre le moment qu’aucune d’elles ne croit attendre, elles attendent comme elles ont toujours attendu, dans d’autres cours, près d’autres piliers, derrière les carreaux d’autres fenêtres, ou bien elles se distraient en coupant des géraniums rouges pour orner la caisse en bois blanc dans laquelle on a emporté la Mercedes Barroso, pour que la pauvre Menche ne parte pas sans une seule fleur, même si ce ne sont que ces géraniums poudreux, Dieu qu’elle était drôle quand elle dansait les danses que lui avait apprises Iris Mateluna : le frug, le rock, et les autres petites orphelines, et même nous, on donnait le rythme en frappant dans nos mains pour les faire danser ensemble, Iris et la Menche, pauvre Menche… c’est simplement d’être trop grosse qu’elle a dû mourir, une nuit toute pareille à celle qui va commencer maintenant.
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