Käännös "predicado a" ranskan
Käännösesimerkit
Es una guerra injusta, Simeón, predicada con mentiras y engaños.
« C'est une guerre injuste, Siméon, fondée sur des mensonges et des tromperies.
Él era quien había proporcionado racionalidad a la negación de derechos individuales y colectivos en la Rusia soviética. Había hecho carrera como defensor y como practicante de la dictadura. Había insultado a los demócratas con regularidad y se había reído de la democracia. Había despreciado el papel de las leyes. Había predicado la conveniencia de subvertir las democracias liberales supervivientes de Europa, y no había cambiado de opinión después de que lo deportaran desde la URSS.
Il était d’un pharisaïsme inégalé : lui qui en Russie soviétique avait fourni une argumentation rationnelle pour priver de leurs droits individus et communautés, qui s’était lancé dans la défense et la pratique de la dictature, qui avait régulièrement insulté les démocrates et ridiculisé la démocratie, qui méprisait les règles du droit, prêchait le bien-fondé des actions subversives dans les dernières démocraties libérales d’Europe et n’avait pas changé d’avis après sa déportation, le voilà qui refusait d’accepter les conséquences de son fanatisme : il comptait tout bonnement être accueilli au sein d’une démocratie dont il était l’exterminateur.
Por otra parte, aunque cometía el error de adelantar en un año entero la fecha de la fundación de Falange, en su escrito Manuel Mena se revelaba como un joseantoniano puro, no como un franquista (de hecho, el discurso no contiene una sola mención a Franco), como un chaval intoxicado por el idealismo ponzoñoso del fundador de Falange y como un creyente a pies juntillas en la armonía de clases predicada por los revolucionarios de extrema derecha y extrema izquierda y en la doctrina joseantoniana consistente en aunar patriotismo a ultranza y revolución social en una síntesis imposible que sin embargo era el mejunje ideológico combinado por la oligarquía para detener el igualitarismo socialista y democrático.
D’autre part, Manuel Mena se révélait dans cet écrit comme un adepte de José Antonio Primo de Rivera, non comme un franquiste (de fait, le discours ne comporte pas une seule mention de Franco), comme un garçon intoxiqué par l’idéalisme venimeux du fondateur de la Phalange et croyant avec ferveur en l’harmonie de classes prônée par les révolutionnaires d’extrême droite et d’extrême gauche, et en la doctrine de Primo de Rivera selon laquelle il fallait allier le patriotisme exacerbé à la révolution sociale via une synthèse impossible qui n’était rien d’autre que le mélange idéologique concocté par l’oligarchie dans le but de stopper l’égalitarisme socialiste et démocratique.
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