Käännös "plumas de plumas" ranskan
Plumas de plumas
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y desde entonces… también me has desplumado bien… No es un reproche: pluma a pluma.
et depuis... tu m’as bien plumé aussi... Ce n’est pas un reproche : plume à plume.
Y la pluma… La pluma corcoveaba y se retorcía entre sus dedos inertes, ¿y qué fuerza era la que formaba las letras?
Et la plume, la plume se cabrait, se tordait, entre ses doigts passifs et elle ne savait quelle force qui formait les lettres ?
Transcribir la conversación absurda que tuve esta mañana en la papelería (tanto problema para comprar una pluma, la pluma con la que estoy escribiendo y que aquí llaman «bolígrafo»).
Transcrire la conversation absurde que j’ai eue ce matin à la papeterie (tant de problèmes pour acheter une plume, la plume avec laquelle j’écris et qu’ici on appelle un « stylo-bille »).
Uno de los pájaros hasta perdió una pluma. La pluma flotaba en el aire, al otro lado de la cortina, acariciaba el pequeño hueco y parecía filtrar la luz.
L’un d’eux y laissa une plume. La plume flottait en l’air, de l’autre côté du rideau, puis effleurait l’interstice, tamisant à moitié la lumière.
Entonces vio algo blanco que se balanceaba en el aire, acercándose al suelo: una pluma, una pluma nívea que sin duda había arrancado del pájaro al tocarlo.
Il vit alors quelque chose de blanc qui se balançait dans l’air en se rapprochant du sol : une plume, une plume neigeuse qu’il avait sans doute détachée de l’oiseau en le touchant.
Tan ancha como su muslo, blanca como la nieve, con un corte limpio hecho por lo que debía de ser una hoja tan afilada como una navaja. Era una pluma. Una pluma mudada. 29 Efímeras
Large comme sa cuisse, blanche comme la neige, coupée net par ce qui devait être une lame parfaitement aiguisée… Une plume. Une plume de mue. 29 ÉPHÉMÈRES
Primero me hizo desvestirme poco a poco, pluma a pluma, con una precisión de ornitólogo, mientras apreciaba con la vista, el tacto y el olfato la delicadeza de la seda de las braguitas (hecha con espuma de gusanos chinos que había cuidado personalmente Mao, y que ahora compraban los capitalistas), la tersura de las medias negras y los tirantes del liguero («Fíjate qué casualidad, antes las obreras de la fábrica terminaban precisamente los últimos modelos de esto»), y la suavidad de mi piel en los sitios que las mujeres cuidamos más y enseñamos menos, como la entrepierna, donde guardamos la primera dulzura de la niñez, y los bordes del ano, donde regalamos nuestra última confidencia.
Il me demanda tout d’abord de me déshabiller peu à peu, plume à plume, avec une précision toute ornithologique, pour se délecter les yeux, les mains et le nez de la délicatesse de ma culotte en soie (bavée par des vers chinois dont Mao avait personnellement pris soin et dont les capitalistes font aujourd’hui commerce), de la suavité de mes bas noirs et des cordons de mon porte-jarretelles (« C’est amusant, figure-toi que les ouvrières de l’usine travaillaient justement à la finition des derniers modèles de ce genre ») et du velouté de ma peau, aux endroits que nous les femmes soignons le mieux et montrons le moins, comme l’entrejambe où nous conservons la prime douceur de l’enfance, et les bords de l’anus, où se trouve la dernière confidence que nous puissions faire.
Y sin embargo, en Raissa hay a cada momento un niño que desde una ventana ríe a un perro que ha saltado sobre un cobertizo para morder un pedazo de polenta que ha dejado caer un albañil que desde lo alto del andamio exclama: —¡Prenda mía, déjame probar! —a una joven posadera que levanta un plato de estofado bajo la pérgola, contenta de servirlo al paragüero que celebra un buen negocio, una sombrilla de encaje blanco comprada por una gran dama para pavonearse en las carreras, enamorada de un oficial que le ha sonreído al saltar el último seto, feliz él pero más feliz todavía su caballo que volaba sobre los obstáculos viendo volar en el cielo a un francolín, pájaro feliz liberado de la jaula por un pintor feliz de haberlo pintado pluma por pluma, salpicado de rojo y de amarillo, en la miniatura de aquel libro en que el filósofo dice: «También en Raissa, ciudad triste, corre un hilo invisible que enlaza por un instante un ser viviente a otro y se destruye, luego vuelve a tenderse entre puntos en movimiento dibujando nuevas, rápidas figuras de modo que a cada segundo la ciudad infeliz contiene una ciudad feliz que ni siquiera sabe que existe».
Et pourtant, à Raïssa, à tout moment, un enfant rit à sa fenêtre, en voyant un chien sauter sur un auvent pour mordre dans le morceau de polenta qu’un maçon a lâché du haut d’un échafaudage, en s’exclamant : « Mon trésor, laisse-moi plonger ! » à l’adresse d’une jeune hôtelière qui soulève un plat de ragoût sous sa pergola, contente de le servir au marchand de parapluies qui fête une bonne affaire, l’ombrelle de dentelle blanche avec quoi va se pavaner aux courses une grande dame amoureuse d’un officier qui lui a souri alors qu’il sautait la dernière haie, heureux lui-même mais plus heureux encore son cheval qui volait par-dessus les obstacles voyant voler dans le ciel un francolin, heureux oiseau libéré de sa cage par un peintre heureux de l’avoir peint plume à plume, tacheté de rouge et de jaune, dans une miniature, à cette page du livre où le philosophe dit : « Même à Raïssa, ville triste, court un fil invisible qui par instants réunit un être vivant à un autre et se défait, puis revient se tendre entre des points en mouvement, dessinant de nouvelles figures rapides, si bien qu’à chaque seconde la ville malheureuse contient une ville heureuse sans même qu’elle sache exister. »
A Bonden le producía una indescriptible satisfacción escribir versos, y con una sonrisa infantil abrió el tintero y, cuidadosamente, puso en él la pluma, una pluma de alcatraz.
Écrire en mètres procurait à Bonden un plaisir ineffable. Avec un grand sourire enfantin, il ouvrit son encrier et leva une plume attentive… Une plume de fou de Bassan.
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