Käännös "pensable" ranskan
Pensable
Samankaltaiset kontekstilausekkeet
Käännösesimerkit
 Agnes sabía que Laura era capaz de hacer insensateces y la frase «lo haré de modo que me encuentre allí» le daba miedo: se imaginaba el cuerpo inmóvil de Laura en medio del salón de la residencia tropical y se asustaba al comprobar que aquella imagen era bastante verosímil, pensable, que combinaba con la manera de ser de Laura.
Sachant Laura capable de commettre des actes déraisonnables, Agnès prit peur en entendant la phrase « je m’arrangerai pour qu’il me trouve là-bas » : elle imaginait le corps immobile de Laura au milieu du salon de la villa tropicale et cette image, elle s’en rendit compte avec effroi, était parfaitement vraisemblable, concevable, ressemblait à Laura.
imaginable
—Estos microtúbulos conductivos transitorios —dijo Eberle— hacen pensable lo hasta ahora impensable: una interfaz digitoquímica a tiempo casi real.
« Ces microtubules conducteurs éphémères, disait Eberle, rendent imaginable ce qui était auparavant inimaginable : une interface numérico-chimique directe, quasi instantanée. »
Estaban de pie y sentadas en todas las posturas pensables y representaban toda clase de mujer; reservadas, apasionadas, medio ocultas, totalmente desnudas.
Dans toutes les positions imaginables, elles incarnaient tous les types possibles, les froides, les passionnées, celles à moitié cachées, celles entièrement dénudées.
Helen Reed, sí, también me gustaría follármela a ella, pero eso no es sólo pensable, sino que puedo creerlo factible, aquí no hay tabú… La besé, y ella no se opuso… no se puede decir que correspondiese, pero no se resistió… ha sido una buena semana para los besos ilícitos… ayer morreé a Marianne, nada menos que en el aparcamiento de Salisbury… yo estaba en la tienda comprando vino para la fiesta y ella estaba haciendo la compra semanal y nos encontramos en el pasillo, empujando carritos en direcciones opuestas, entre los refrescos y las tortillas Phileas Fogg… charlamos un rato, de un modo bastante inocente, pero al despedirnos le pregunté dónde había aparcado y al cabo de un titubeo murmuró, «Al lado del contenedor de vidrio»… En cuanto llené el carro de bebida y pagué en la caja, lo empujé hasta el aparcamiento y descargué todo en mi coche… había oscurecido y llovía, una fina llovizna invisible caía sobre las hileras de coches y les empañaba las ventanillas… Me senté en mi coche vigilando hasta que ella apareció, empujando su carro lleno hasta arriba de comida… después de descargarlo en el maletero de su Volvo se sentó en el asiento del conductor pero no arrancó el motor ni encendió las luces.
Quoi qu’il en soit, qu’est-ce donc qui m’a amené à ouvrir ce tiroir du classeur confidentiel ?… Helen Reed, oui, elle aussi, j’aimerais bien me l’envoyer, mais ça, ce n’est pas seulement imaginable, c’est faisable, pas de tabou qui s’y oppose… Je l’ai embrassée, sans qu’elle proteste… elle n’a pas vraiment répondu au baiser, mais elle n’a pas non plus résisté… c’était une bonne semaine pour les baisers illicites… hier j’ai roulé un patin à Marianne, dans l’endroit le plus insensé, le parking de Sainsbury’s… j’étais dans le magasin pour acheter du vin en prévision de la fête, elle faisait son marché hebdomadaire, nous nous sommes croisés dans l’allée poussant chacun notre chariot, entre les boissons non alcoolisées et les tortillas Phileas Fogg… on a bavardé un moment, assez innocemment, mais en la quittant je lui ai demandé où elle était garée et, après une brève hésitation, elle a murmuré : « Près du conteneur à verre. » Après avoir rempli mon chariot et payé à la caisse je l’ai poussé jusqu’au parking et j’ai transféré les bouteilles dans mon coffre… il faisait nuit et il pleuvotait, une bruine invisible qui tombait sur les rangées de voitures, brouillait leurs vitres… Je suis resté dans la mienne à guetter jusqu’à ce que je la voie arriver avec son propre chariot bourré à ras bord… Elle l’a déchargé dans sa Volvo puis elle s’est assise au volant mais sans mettre le moteur en marche ni allumer ses phares.
Vislumbré justo sus tensos pechos adolescentes, reluciendo mojados, con grandes areolas marrones y pezones puntiagudos antes de dar media vuelta y salir gritando a través de la puerta: «Cierra con llave cuando te estés bañando, ¿quieres?»… Ella me lanzó una sonrisa tímida cuando más tarde salió del baño, «Perdona, Messenger»… pero no parecía disgustada… Yo sí, sin embargo… porque me gustaría follarme a Emily… No voy a hacerlo, desde luego, sería impensable… no, eso es exactamente lo que es, pensable… no hay acto sexual, por perverso o extraño que sea, que no pueda pensarse, que no haya sido pensado por alguien… pero no tengo intención de hacerlo, ni la menor… aun cuando la idea de que ese novio suyo larguirucho y devastado por el acné, Greg, disfrute de ese privilegio es casi insufrible… Nunca lo haría… Es uno de esos pensamientos que guardamos encerrados en el archivo confidencial de nuestra mente… de nada sirve romperlo en pedazos ni quemarlo o negar su existencia, sólo puedes ocultarlo, tanto de tu vista como de la ajena… y no facilita las cosas sorprender en el baño a tu hijastra núbil… ¿Cómo he llegado a abrir, por cierto, este cajón concreto del archivo…?
Voir une femme complètement nue pour la première fois, c’est toujours une surprise… parfois agréable, parfois décevante… Je me demande si elle marcherait pour un bain nu un de ces jours, pas en famille naturellement, mais une petite séance réservée aux adultes comme on s’en offrait en Californie à l’occasion… on était là à siroter du Zinfandel de la Napa Valley avec les effluves de barbecue et la musique d’un raga sur la stéréo portative… la belle vie… Carrie ne veut pas se baigner à poil dans le jacuzzi quand les enfants sont là… je suppose qu’elle a raison, ils seraient affreusement gênés, en tout cas les garçons… Et de nos jours nous sommes tous hantés par les histoires d’abus sexuels, on a la terreur de donner prise à des soupçons ou d’alimenter un futur syndrome de mémoire trompeuse… de plus, le fait qu’Emily n’est pas ma fille complique la situation… même si je suis sûr que ça ne la dérangerait pas… La fois où je l’ai vue toute nue l’an dernier, quand je suis entré dans la salle de bains je ne sais plus pourquoi et qu’elle était dans la baignoire… « Oh, pardon ! » Juste eu le temps d’entrevoir ses jolis nichons d’adolescente, mouillés et luisants, avec de larges aréoles brunes et des tétons durcis, avant de tourner les talons et de sortir en lançant derrière moi : « Verrouille la porte quand tu prends un bain, s’il te plaît… » Lorsqu’elle a émergé plus tard de la salle de bains, elle m’a souri d’un air un peu penaud… « Désolée pour tout à l’heure, Messenger ! »… mais ça n’avait pas l’air de la troubler… Moi, oui, parce que je ne détesterais pas m’envoyer Emily… je ne le ferai pas, bien sûr, c’est inimaginable – non, précisément, c’est imaginable… il n’y a pas d’acte sexuel, si pervers ou bizarre qu’il soit, qu’on ne puisse imaginer, qui n’ait pas été imaginé par quelqu’un… mais je n’ai aucune intention de le faire, pas la moindre… Même si c’est presque intolérable de songer que ce grand dadais rongé par l’acné qui est son petit ami jouit de ce privilège… jamais je ne ferais ça… C’est une de ces pensées que nous gardons sous clé dans les classeurs confidentiels de notre psychisme… inutile de chercher à la supprimer ou à nier son existence, on ne peut que la cacher, à soi-même comme aux autres… ce qui n’est pas facilité par le fait de surprendre dans son bain sa belle-fille nubile…
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