Käännösesimerkit
Frente a él, los anuncios muestran esa iluminación de verano.
En face de lui, les affiches ont cette lumière d’été.
Cierra la puerta detrás de mí y yo paso la vista por la habitación, que está decorada con citas motivacionales y carteles que muestran mensajes positivos.
Tandis qu’elle ferme derrière elle, je regarde le décor qui nous entoure, les citations affichées au mur, les posters traditionnels aux messages positifs.
Camina agazapada, avanzando en silencio por delante de los carteles rasgados que muestran a carteros felices entregando paquetes de colores a los niños y de los anuncios pintarrajeados con grafitti de jubilados sonrientes que coleccionan sellos.
Le vent glacé l’enveloppe de cette odeur lorsqu’elle passe la poste, toujours baissée, devant des affiches graffitées représentant des retraités souriants qui collectionnent des timbres et de joyeux facteurs qui donnent des paquets multicolores à des enfants.
Pero no hay mujeres y las lúgubres alusiones al sexo son numerosas. Los carteles de los cines muestran gruesas muchachas persas en pijama corto y en las salas de fiestas hay bailarinas que bailan la danza del vientre, otras que practican el estriptis y cómicos con sombreros ridículos cuyos chistes hacen referencia al sexo que se les niega.
Point de femme, mais de sinistres substituts à la sexualité : les affiches de films exhibent des Persanes bedonnantes en pyjama court, des night-clubs où se trémoussent des spécialistes de la danse du ventre, des effeuilleuses, des girls et des comédiennes affublées de galurins ridicules dont chaque plaisanterie a trait à ce sexe inaccessible aux clients…
Es uno que, noche y día, frecuenta mucha gente, hombres morenos de esmoquin ceñido y cabello lustroso peinado hacia atrás, mujeres rubias de mirar remoto y profundo con la espalda escotada, los clientes muestran siempre una gravedad total, sólo sonríe excepcionalmente y con ferocidad algún que otro miembro del personal, excluidos los croupiers.
C’en est un que nuit et jour beaucoup de monde fréquente, hommes bruns aux smokings près du corps et cheveux lustrés en arrière, femmes blondes aux regards ailleurs et profonds décolletés dans le dos, la clientèle affiche toujours une gravité totale, seuls sourient exceptionnellement et férocement l’un ou l’autre membre du personnel, croupiers non compris.
Te alaban: ¡Elite! ¿Artillero de primera! Te envuelven en banderas, te prenden alas en el bolsillo y galones en los hombros y medallas de cintas coloridas, todo simplemente por hacer lo que te ordenan quienes manejan tus hilos. "A los afiches de reclutamiento no se les aplican las normas de propaganda veraz. Las ilustraciones muestran aviones a chorro. No dicen: A propósito, si no te matas piloteando este avión, morirás en la cruz de tu responsabilidad personal con respecto a las personas que mates con él.
Pour vous récompenser de votre obéissance, on vous remet des médailles, des rubans et des galons et l’on s’empresse de broder de jolies ailes sur les poches de vos uniformes… « Les affiches publicitaires visant à attirer de nouvelles recrues ne témoignent pas de la réalité. Elles vous laissent croire que vous piloterez les jets, superbement représentés, mais ne mentionnent jamais que peut-être vous serez tués ou alors écrasés sous le poids des meurtres que vous aurez commis…
Saliendo de la avenida principal de nuestro barrio, alcanzaría rápidamente las callejuelas de Beyoğlu, pasaría delante de los cafés llenos de humo de Yeşilçam donde los extras juegan al chanquete con los jubilados, ante los afiches de las películas del «Cinemascope turco en color» que muestran a legendarios actores muertos hace mucho tiempo, delante de edificios tambaleantes apretujados unos sobre otros, tiendas y restaurantes diminutos, y me perdería entre la multitud de la calle Istiklal.
Quittant l’avenue principale de notre quartier, je gagnerais promptement les ruelles de Beyoğlu, je passerais devant les cafés enfumés de Yeşilçam où des figurants jouent au trictrac avec des retraités, devant les affiches des films du « Cinémascope turc en couleurs » montrant des acteurs légendaires morts depuis longtemps, devant des bâtiments chancelants entassés les uns sur les autres, des boutiques et des restaurants grands comme des mouchoirs de poche et j’irais me perdre dans la foule de la rue Istiklal.
Jerusalén es sin duda una ciudad pintoresca, sí —pero decir de una ciudad que es pintoresca es lo mismo que maldecirla—, con sus calles estrechas y empinadas y su antiquísima edificación maciza, sus bazares atestados de gente, colmados de cacharros y vasijas, pescados y frutas, pasteles y corderitos desollados, con sus fragancias de exóticas especies, sus ancianos de mirada penetrante adornados con distintivos beduinos. Pero un viento frío silba a través de las sucias callejuelas, y toda la gente de la ciudad, niños y mendigos, comerciantes y vendedores, mandaderos y albañiles, todos muestran una triste expresión de desesperanza, una mirada quebrantada y hueca, una mirada que no refleja resignación, sino que anticipa el desastre y la derrota: Ya se acercan los asirios, ya se acercan los romanos, ya se acercan los persas, ya se acercan los sarracenos, ya se acercan los turcos, ya se acerca la descomposición orgánica, y con ella la destrucción, y la ruina eterna. Es imposible escaparse de las garras del siglo XXI, aun bajo o la protección de estas murallas medievales. Sadrac sube la cuesta hacia el Gólgota, y en el trayecto ve por todas partes los clásicos carteles de duelo donde se refleja el rostro joven y manso de Mangú, quien también estaba presente en Nairobi, desde luego, pero en aquella ciudad espaciosa y aireada, las imágenes parecían menos imponentes, disimuladas entre el colorido de las buganvillas y los jacarandaes. Aquí, las compactas murallas de piedras que se elevan sobre pasajes estrechos donde sólo tres personas caben a lo ancho, ofrecen llamativas figuras de Mangú, manchones amarillos imposibles de eludir, y al mirarlos, se siente como si la mano maléfica dé Genghis Mao pasara sobre la ciudad, imponiéndole un dolor que no siente por la muerte del joven virrey. Genghis Mao también está presente: sus característicos rasgos curtidos brillan en las principales bocacalles, en estandartes que flamean con la brisa. Para los nativos del lugar estas imágenes extrañas son, sin duda, tan naturales como lo fueron alguna vez los carteles o estandartes de Nabucodonosor, de Tolomeo de Tito;
Jérusalem est pittoresque, certes – mais taxer un endroit de pittoresque revient à le condamner –, avec ses étroites rues en pente, son antique et robuste maçonnerie, ses étals grouillants où s’empilent pots et casseroles, poissons et pommes, gâteaux et agneaux dépiautés, avec, aussi, ses odeurs d’épices étranges et ses vieux bédouins au profil de faucon, mais un vent froid siffle dans les ruelles crasseuses, et tous les gens qu’il croise, enfants ou mendiants, marchands ou acheteurs, portiers ou ouvriers, affichent la même expression de morne désespoir ; dans leurs yeux enfoncés se lit la même ruine de l’âme qui signale non l’endurance, mais l’anticipation de la défaite et l’abandon : Les Assyriens arrivent, les Romains arrivent, les Perses arrivent, les Sarrasins arrivent, les Turcs arrivent, le pourrissement arrive, et nous serons écrasés, nous serons annihilés à tout jamais. Impossible d’échapper au XXIe siècle, même entre ces murs moyenâgeux. Sur la route qui monte vers le Golgotha, Shadrak ne cesse de se heurter au portrait standard de Mangu, jeune visage neutre sur fond jaune vif. Non que la présence du défunt ne se fit pas sentir à Nairobi, mais dans cette ville spacieuse et aérée, les affiches n’avaient pas un caractère aussi oppressant et se laissaient facilement occulter par l’éclat des bougainvillées ou des jacarandas. Ici, l’image de Mangu suinte des lourdes murailles et hurle au-dessus de passages à peine assez larges pour que trois personnes puissent y avancer de front ; on ne peut échapper à ces éclaboussures jaunes et, à les voir, on sent peser sur toute la ville la main de Gengis Mao, sa volonté maléfique qui dicte un deuil peu spontané en l’honneur du vice-roi.
Pero los programas que consiguen mayores audiencias son definitivamente los que muestran grandes mamíferos.
Mais ce sont bien les émissions où apparaissent les gros mammifères qui ont la meilleure audience.
El programa consiste en una serie de personas normales, verdaderos inventores, que vienen aquí y muestran cómo han resuelto un pequeño o un gran problema de nuestra sociedad con ayuda del ingenio. —Qué buena idea.
L’émission se déroule comme suit : une série de gens ordinaires, de véritables inventeurs, viennent ici sur la scène et montrent comment ils ont résolu un grand ou un petit problème de notre société grâce à leur intuition. — C’est fort, comme concept.
Muéstranos tu estilo.
Montre-nous ton style. 
Muéstranos las cosas.
Montre-nous les choses.
—¡Muéstranos de qué estás hecho!
— Montre-nous de quoi tu es capable !
Muéstranos lo inteligente que eres.
Montre que tu es un chien intelligent ! 
¿Estará ella entendiendo todo lo que nos muestran?
Comprend-elle tout ce qu’on nous montre ?
¡Muéstranos tu fuerza descomunal!
Montre-nous ta force !
Muéstranos cómo funciona…
— Montre-nous comment cela marche…
Lolita, ¡muéstranos tu hamaca!
Lolita, montre-nous ton hamac !
Ahora muéstranos el Desiluminador.
Montre-nous un peu le Déluminateur.
—Nosotros los presentamos, ponemos el ballet alrededor, construimos el espectáculo y ellos muestran la idea que se les ha ocurrido con un prototipo.
— Nous on les présente, on fait danser les filles autour d’eux, on construit le spectacle là-dessus et eux ils exposent leur idée, pour laquelle ils ont déjà déposé un brevet.
Cuando se mueven por zonas más pobladas, los laterales de la carretera muestran horrores que ninguna niña pequeña debería contemplar jamás.
A mesure que les endroits qu’ils traversent sont de plus en plus peuplés, les bas-côtés de la route offrent un spectacle qu’aucune petite fille ne devrait être obligée de voir.
Pues pasará lo que nos muestran las colinas de Drosselwalde, y con ellas la napola de Kaltenborn y todo el Reich: la foria que define el ideal de la relación entre el adulto y el niño se establece monstruosamente entre el niño y el juguete adulto.
Il se passe, ce dont les hauts de Drosselwalde – et avec eux la napola de Kaltenborn, et tout le Reich – nous donnent le spectacle : la phorie qui définit l’idéal de la relation entre adulte et enfant s’instaure monstrueusement entre l’enfant et le jouet adulte.
No se hace el más mínimo intento de proteger al niño alemán de las opiniones de los adultos, y a veces —viendo que ambos continúan hablando en inglés, incluso cuando se muestran ofensivos de un modo imperdonable— sospecho que las escenas son una suerte de Punch y Judy, los títeres de cachiporra, representadas para engañarme o para echarme en cara el daño que les he ocasionado.
On ne cherche absolument pas à épargner au petit Allemand ce que pensent les adultes, et je me demande par moments, étant donné que tous deux continuent, et même avec une violence impardonnable, à parler anglais – si ces scènes ne sont pas un spectacle de marionnettes destiné à me tromper ou à me reprocher ce que je leur ai fait à tous.
Aparte de que en Estados Unidos el término realidad se ha convertido en sinónimo de lo más bajo y sórdido. Nos hemos vuelto unos maniáticos de las historias verdaderas; del «confesarlo todo»; del reality show televisivo que nos muestra a gente real viviendo una vida real; de los programas de entretenimiento que muestran las bodas, los divorcios y las adicciones de los famosos: una versión actualizada de las antiguas ejecuciones en la horca.
En même temps, réalité est devenu en Amérique synonyme d’ignoble et de sordide. Nous pratiquons le culte de l’histoire vraie, de la confession intégrale, de la téléréalité, des gens réels dans leur vie réelle, les mariages de célébrités, leurs divorces, leurs vices, l’humiliation offerte en spectacle – notre version des pendaisons en public. La foule des badauds s’assemble.”
Como sabía que muchos otros hombres gays estaban de acuerdo conmigo —en que el cine y la televisión muestran a los gays en una especie de juego de máscaras interminable, a menudo creado por guionistas y productores también gays, o si no simplemente no aparecen, y que, por ejemplo, ni una sola de las nominadas a Mejor Película de 2012 incluía un personaje homosexual—, supuse que la comunidad orgullosamente progresista a la que en principio me adscribía sería tan inclusiva como yo inofensivo en mis críticas.
Dans la mesure où je savais qu’un grand nombre de gays étaient d’accord avec moi – sur le fait que les gays étaient représentés dans une sorte de spectacle de ménestrels sans fin au cinéma et à la télévision, souvent créés par des écrivains et des producteurs qui étaient eux-mêmes gay, ou bien étaient opportunément ignorés, et pas une sélection pour le meilleur film aux oscars de 2012 n’avait un personnage gay dans sa distribution –, j’ai supposé que la fière communauté libérale à laquelle j’étais censé appartenir était aussi inclusive que je pouvais être critique et inoffensif.
Los esqueletos jóvenes hallados en el cementerio cercano a los talleres textiles situados fuera de Roma muestran los intensos esfuerzos y denuedos del trabajo físico requerido. No obstante, uno de los muchos talleres de abatanado de Pompeya ofrece un cuadro alternativo de esta industria, para el consumo de los propios bataneros. Las zonas donde los hombres, porque en su mayoría eran hombres, apaleaban y procesaban el tejido, cualquiera que fuese la maloliente mezcla que utilizasen, estaban decoradas con pinturas en las que se representaba con exactitud la realización de aquellos complicados y desagradables procesos.
Les jeunes squelettes découverts dans le cimetière qui se trouvait près d’un atelier de blanchisserie aux portes de Rome révèlent l’intensité des efforts physiques exigés par ce travail. L’une des nombreuses fouleries retrouvées à Pompéi présente néanmoins de cette industrie une image différente, d’ailleurs offerte en spectacle aux fouleurs eux-mêmes : décorant les espaces de travail où les hommes pressaient et traitaient les textiles, quel que fût le produit à l’odeur nauséabonde dont ils se servaient à cette fin, se trouvaient des peintures représentant le processus difficile et élaboré auquel ils s’adonnaient.
Sería un buen tema para un programa de entrevistas: «Muéstranos tu interior.» Un plató de grabación en el Instituto Labrouste, en el que se podrían ver los corazones batientes y las arterias obstruidas de todos los participantes, en directo.
Ce serait un bon concept de talk-show : « Fais voir ton intérieur. » Un plateau tourné à l’institut Labrouste, où l’on pourrait visionner les cœurs battants et les artères engorgées de tous les participants, en direct.
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