Käännös "luce de" ranskan
Käännösesimerkit
Éste es un campo de batalla —pensó el pequeño—; así es cómo luce.
Le garçon se dit : voilà à quoi ressemble un champ de bataille.
A los que no veía era a Daniel y a Cam, y Luce no podía imaginar cómo serían sus familias.
Daniel et Cam brillaient par leur absence. À quoi pouvaient ressembler leurs familles ?
Fiel a su palabra, Parker se ha teñido el pelo de marrón, se ha peinado con una rígida raya a la izquierda y luce un esmoquin -estilo investidura, con chaqueta y pajarita blancas- con el cual logra un convincente parecido con John Kennedy.
Fidèle à sa promesse, Parker s’est teint les cheveux en brun, tracé une raie à gauche et a enfilé un smoking blanc dans le pur style de l’investiture présidentielle. Le résultat est à la hauteur de ses efforts : il ressemble à s’y méprendre à John Kennedy.
Cuando luce temo blanco y lleva su fagot, es igual a un paxoró, parece Oxolufan, Oxalá viejo, el mayor de los orixás, el padre de todos.) Las comidas de Oxalá son ojojó de ñame, despacho de maíz blanco, girasol y acaca.
Quand il porte un costume blanc et qu’il tient son basson, il ressemble à Oxolufan, un vieil Oxalá, le plus grand des esprits orixás, le père de tous les autres. Ses plats préférés sont l’ojojó d’igname, l’êbô de maïs blanc, les coquillages, et comme boisson l’acaçá.
Señaló su mano inclinándose hacia adelante. —¿Cuándo fue la última vez que alguien te revisó eso para descartar una infección? —Sé cómo luce una infección —controló el impulso de ocultar su dedo herido, pero de ninguna manera le iba a mostrar su muñón a este tipo—. Está bien.
— Quand a-t-on vérifié pour la dernière fois qu’il n’y avait pas d’infection ? — Je sais à quoi ressemble une infection, rétorqua-t-elle. (Elle résista au réflexe de cacher son doigt blessé, mais elle n’allait pas non plus lui montrer son moignon.) Je vais bien.
El valle es profundo y seco, su corazón es de piedra, ¿así es como luce la muerte?, el sol desaparece tras el monte en el vaporoso occidente, es una visión como la de un incendio que se propaga más allá de las cimas, un fuego del que solo las chispas consiguen emerger por encima de las antiguas cumbres, palidecer y morir. Para su sorpresa, descubre que, aun después de haberse puesto el sol, el cielo permanece claro y asume que quizá en realidad no ha de guardar relación la puesta del sol con la salida de la luz.
Le ravin est abrupt et sec, avec un fond rocailleux. Lui ressemble-t-il ? Ça y est, le soleil a disparu derrière la ligne des crêtes, l’ouest rougit au point de créer l’illusion d’un violent incendie allumé derrière la colline, un incendie dont seules les braises arriveraient à grimper le long des antiques terrasses avant de disparaître en blêmissant. Il s’étonne de constater que le ciel reste clair et, pour la première fois de sa vie, il se rend compte qu’il n’y a aucun rapport entre le déclin du soleil et celui de la lumière.
Es la madre de Lestat, a quien abandona durante siglos sin hacer caso de sus periódicos y frenéticos gritos de socorro, y aunque no puede captarlos porque es menos potente que él, podría enterarse de ellos a través de otras mentes vampíricas que se apresuran a difundir la noticia por todo el mundo cada vez que Lestat se encuentra en apuros. Gabrielle, idéntica a Lestat, salvo que es una mujer, una mujer de los pies a la cabeza, es decir, que posee unos rasgos más acusados, la cintura delgada, los pechos grandes, la mirada dulce, ladina e hipócrita, que cuando luce un traje de noche negro y el pelo suelto quita el hipo, aunque por lo general presenta un aspecto polvoriento y asexuado vestida de cuero o con un sastre color caqui ceñido con un cinturón, un ser que pisa firme, una vampiro tan astuta y fría que ha olvidado lo que significa ser humano o experimentar dolor. Deduzco que lo olvidó de la noche a la mañana, suponiendo que alguna vez lo supiera. De mortal era uno de esos seres que siempre se asombran ante las emociones de los demás.
Mère de Lestat, qu’elle abandonne pour des siècles, elle ne réagit même pas aux frénétiques appels à l’aide qu’il lance à intervalles réguliers. Certes, elle ne les entend pas, puisqu’il l’a créée, mais il lui serait facile de s’en informer dans les autres esprits vampiriques, qui s’enflamment de par le monde entier en apprenant que Lestat a des problèmes. Gabrielle, qui ressemble fort à son fils sinon qu’elle est femme, totalement femme, c’est-à-dire dotée de traits plus aigus, d’une taille fine, d’une ample poitrine et d’yeux d’une douceur aussi déstabilisante et mensongère que possible. Très belle, en robe du soir noire, les cheveux libres, plus souvent poudrée de terre, asexuée, moulée dans du cuir souple ou du kaki, toujours sur la route, si intelligente, si froide en tant que vampire qu’elle a sans doute oublié ce que c’était que d’être humaine ou de souffrir – à mon avis, elle l’a oublié en une nuit, si elle l’a jamais su. Dans sa vie de mortelle, elle était de ces gens qui passent leur temps à se demander ce que manigancent les autres.
De espaldas luce como una jovencita, con sus vaqueros ajustados y sobre ellos una larga camisola blanca, de repente siente deseos de que vuelva, conserva la botella en su mano y la agita como un letrero a pesar de que está vacía, a pesar de que no lo ve. Oiga, su botella, grita, como si le hubiese dejado un objeto valioso, pero ella ya se ha alejado, acerca la botella a su boca intentando beber una última gota, siente súbitamente el regreso de esa sed salvaje, se imagina a sí mismo hincado de rodillas y bebiendo agua como un perro, de una zanja o de un charco, lame con una lengua que se agranda y agiganta hasta que ya no cabe en el espacio de su boca, absorbe cada gota caída a su paso. Su lengua es pesada y lo arrastra hacia abajo, larga como un rabo que se sacude sin pausa, su lengua lo arroja a los pies de la puerta, tienta aterrorizado en busca del timbre, desea alcanzar a darle por lo menos una señal de vida antes de que el asfalto lo devore, una última oportunidad de llevarlo a su casa, de acostarlo en su cama, de secar en secreto una lágrima con el faldón de su camisa, de prometerle que todo estará bien, que pronto se sentirá mejor.
De dos elle a l’air d’une gamine, avec son long chemisier blanc qui descend sur un jean moulant, soudain il a très envie qu’elle revienne, alors il lève le bras, agite la bouteille d’eau vide qu’il a gardée et s’écrie, bien que la femme ne le voie pas, hé, votre bouteille, comme si elle lui avait confié quelque objet de valeur, mais elle est déjà loin, il approche le goulot de sa bouche et essaie d’en extirper une dernière goutte, sa soif est inextinguible, il s’imagine à genoux comme un chien en train de laper de l’eau d’une flaque ou du caniveau, laper avec une langue qui s’allonge, son palais ne peut plus la contenir, elle aspire la moindre goutte d’humidité sur son chemin mais s’alourdit à présent de plus en plus et le tire vers le bas, longue langue lourde qui ressemble à une queue frétillante, bientôt, il s’écroulera sur le pas de la porte, il cherche avec affolement la sonnette, avoir le temps d’émettre un signe de vie avant de s’étaler sur l’asphalte, avoir le temps de lui donner une dernière chance pour qu’elle l’invite à entrer, qu’elle le couche dans son lit, essuie discrètement une larme avec le bord de son chemisier et lui assure qu’il ne doit pas s’inquiéter, qu’il sera bientôt soulagé.
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