Käännös "lo hace lo hace" ranskan
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«No me va a abrir», pensó Lucho sentándose en el primer peldaño, sacándose la sangre de la boca y los ojos, «se ha desmayado con el golpe y está ahí en el suelo, no me va a abrir, siempre lo mismo, hace frío, hace frío». Empezó a golpear la puerta mientras escuchaba las voces en el departamento de enfrente, la carrera de la vieja que bajaba llamando a madame Roger, el inmueble que se despertaba en los pisos de abajo, preguntas y rumores, un momento de espera, desnudo y lleno de sangre, un loco furioso, madame Roger, abríme Dina, abríme, no importa que siempre haya sido así pero abríme, éramos otra cosa, Dina, hubiéramos podido encontrar juntos, por qué estás ahí en el suelo, qué te hice yo, por qué te golpeaste contra la puerta, madame Roger, si me abrieras encontraríamos la salida, ya viste antes, ya viste cómo todo iba tan bien, simplemente encender la luz y seguir buscando los dos, pero no querés abrirme, estás llorando, maullando como un gato lastimado, te oigo, te oigo, oigo a madame Roger, a la policía, y usted hijo de mil putas por qué me espía desde esa puerta, abríme, Dina, todavía podemos encontrar la vela, nos lavaremos, tengo frío, Dina, ahí vienen con una frazada, es típico, a un hombre desnudo se lo envuelve en una frazada, tendré que decirles que estás ahí tirada, que traigan otra frazada, que echen la puerta abajo, que te limpien la cara, que te cuiden y te protejan porque yo ya no estaré ahí, nos separarán enseguida, verás, nos bajarán separados y nos llevarán lejos uno de otro, qué mano buscarás, Dina, qué cara arañarás ahora mientras te llevan entre todos y madame Roger. JULIO FLORENCIO CORTÁZAR DESCOTTE (Ixelles, 26 de agosto de 1914 – París, 12 de febrero de 1984). Escritor, traductor e intelectual argentino nacido en Bélgica y nacionalizado francés.
« Elle n’ouvrira pas », pensa Lucho en s’asseyant sur la première marche et en essuyant le sang sur ses lèvres, sur son œil, « elle s’est évanouie au choc et elle est là, par terre, elle ne va pas m’ouvrir, toujours la même chose, qu’il fait froid, qu’il fait froid ! » Il se mit à cogner contre la porte tout en écoutant les voix dans l’appartement d’en face, la vieille qui descendait en appelant madame Roger, l’immeuble qui s’éveillait aux étages d’en dessous, questions et murmures, un moment d’attente, nu et plein de sang, un fou furieux, madame Roger, ouvre-moi Dina, ouvre-moi, ça ne fait rien si c’est toujours comme ça, mais ouvre-moi, nous étions autre chose, Dina, nous aurions pu trouver ensemble, pourquoi es-tu là par terre, qu’est-ce que je t’ai fait, pourquoi t’es-tu cognée contre la porte, madame Roger, si tu m’ouvrais nous trouverions la sortie, tu as vu avant, tu as vu comme tout allait bien, simplement allumer et continuer à chercher tous les deux, mais tu ne veux pas m’ouvrir, tu pleures, tu miaules comme un chat blessé, je t’entends, je t’entends, j’entends madame Roger, la police, et vous sale con qu’est-ce que vous avez à m’épier derrière votre porte, ouvre-moi Dina, nous pouvons encore trouver la bougie, nous nous laverons, j’ai froid, Dina, ils arrivent avec une couverture, c’est inévitable, un homme nu on l’enveloppe dans une couverture, il faudra que je leur dise que tu es étendue là derrière, qu’ils apportent une autre couverture, qu’ils enfoncent la porte, qu’ils te lavent le visage, qu’ils te soignent et qu’ils te protègent parce que moi je ne serai plus là, ils vont nous séparer tout de suite, tu vas voir, ils vont nous descendre séparément et nous emmèneront loin l’un de l’autre, quelle main chercheras-tu, Dina, quel visage grifferas-tu maintenant qu’ils t’emmènent, tous tant qu’ils sont et madame Roger.
En fin, todo lo que hace, lo hace con valor, y todo lo que hace, lo hace a su manera, así es que si veis a Nicanor Villalta, tampoco habéis visto los toros.
Tout ce qu'il fait, il le fait bravement, et tout ce qu'il fait, il le fait à sa manière, de sorte que si vous voyez Nicanor Villalta, ce n'est pas non plus de la corrida.
El tipo al que conoces, ese alemán, lo que hace lo hace sin plantearse nada.
Ce type que tu connais, cet Allemand, ce qu’il fait, il le fait sans états d’âme.
Porque el que hace niños hace adultos, o sea, varones y mujeres.
Qui fait des enfants fait des adultes, c’est-à-dire des hommes et des femmes.
Es el eje oscuro del año, cuando lo que se hace se hace mal.
C’est l’axe sombre de l’année, où les choses faites sont mal faites.
Todo lo que hace lo hace para Sabina y lo hace de modo que le guste a Sabina.
Tout ce qu’il fait, il le fait pour Sabina et d’une façon qui plairait à Sabina.
OLGA. —Sí, pero hace frío… Hace frío y hay mosquitos. VERSCHININ.
– 16 – OLGA – Oui, mais il fait froid. Il fait froid, et c’est plein de moustiques… VERCHININE – Allons donc !
Se pregunta: ¿Sabe Otto que fui yo el pícaro que le delató al Gulag? ¿Y entonces qué hace? –¿Qué hace?
Est-ce qu’Otto sait – se demande-t-il – que c’était moi le vilain qui l’a vendu au goulag ? Alors que fait-il ? — Que fait-il ?
Y ahora tendría que pasar la mitad de la noche en blanco, escuchando y consolando. —¿Qué hace? —¿Qué hace quién?
Et voilà qu’il lui faudrait veiller une partie de la nuit, à écouter, à compatir. — Que fait-elle ? — Que fait qui ?
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