Käännös "desplantador" ranskan
Desplantador
Käännösesimerkit
Salió de allí, con un desplantador en la mano, en actitud un poco satírica.
Il émergea, vaguement satirique, une truelle de jardinage dans sa main levée.
Sentada con Julie a la mesa de la cocina, vio a su madre por la ventana, dirigiéndose a los rosales con un desplantador en la mano.
Assise avec Julie à la table de la cuisine, elle voyait par la fenêtre leur mère parler à ses rosiers, une truelle à la main.
En el interior de la vieja iglesia, sólo el ruido que hacía mi desplantador al rascar la tierra y el zumbido de un generador y un calefactor portátiles resonaban espectralmente en aquel enorme espacio.
Dans l’enceinte de la vieille église résonnaient le raclement lugubre de ma truelle et le ronronnement du système de chauffage.
Con la ayuda de un desplantador, un pico dental y una pala de plástico para recoger la basura, aflojé y quité la suciedad que cubría el esqueleto, dejando los huesos en su lugar. Cada sustrato de tierra fue a parar al cedazo.
À l’aide d’une truelle, d’un cure-dents et d’une pelle à poussière, j’ai dégagé le squelette en grattant la terre, sans déranger les os. Ce que je ramassais était systématiquement versé dans le tamis.
Tardé varias horas en cavar un agujero lo bastante grande con ayuda de un desplantador, empujar a Mona con el pie —fui incapaz de tocarla con las manos— y cubrir el cuerpo con la tierra quebradiza.
Il m’a fallu plusieurs heures pour creuser un trou suffisant avec une truelle, y pousser la chienne du pied – je n’ai pu me résoudre à la toucher avec les mains – et recouvrir le corps avec la terre meuble.
El pueblo era, al fin y al cabo, un enorme navío donde algunos sobrevivientes se agitaban echando afuera las hierbas, sacando la herrumbre. De cuando en cuando un bote salvavidas, minúsculo, desprendido del buque madre, salía al encuentro del huracán silencioso, navegando calladas olas de hormigas, hundiéndose en la cañada y oyendo las langostas que golpeaban como papeles secos los tibios matorrales, defendiéndose de los ruidos con polvo de arañas, y al fin, en un desprendimiento de piedras y alquitrán, derrumbándose como un altar en una hoguera, mientras una tormenta de truenos y rayos azules fotografiaba instantáneamente el triunfo del desierto. Era esto entonces (el triunfo del hombre que se libraba del abrazo de la tierra, y la tierra que lo abrazaba otra vez, año tras año) lo que atraía a Douglas. Las ciudades nunca ganaban, existían meramente en un calmo peligro, equipadas con cortadoras de césped, polvos insecticidas y tijeras de podar, nadando sin desfallecer, como dicen que nada la civilización, pero con casas preparádas para hundirse en verdes mareas, sumergirse para siempre, con el último hombre, y desplantadoras y segadoras transformadas en cereales cáscaras de herrumbe. El pueblo. El desierto.
La ville n’était après tout qu’un grand navire, avec, à son bord, des naufragés qui se débattaient contre le flot pour survivre, un navire fendant l’herbe et faisant éclater la rouille, tandis qu’à jamais un canot de sauvetage, un abri, détaché du vaisseau amiral, hors de l’assaut tranquille des saisons, s’enfonçait au cœur des vagues silencieuses soulevées par les fourmis et les termites dans le ravin qui l’engloutissait. Les sauterelles grattaient comme du papier sec les herbes brûlées, et le canot, devenu imperméable au bruit sous le tamis des toiles d’araignées, finissait, dans un déchaînement de galets et de goudron, par disparaître comme les reliquaires sous les flammes d’un bûcher allumé par l’orage, tandis qu’un éclair permettait de prendre, du pays sauvage, un instantané triomphal. C’était aussi le mystère de l’homme qui prenait possession de la nature, et de la nature en retour qui prenait possession de l’homme ; telle était la conclusion de Douglas. Il comprenait que les villes ne l’emportaient jamais vraiment, que, sous un calme apparent, elles vivaient en danger avec leur seul équipement de tondeuses, de machines à pulvériser les insectes, de cisailles pour les haies ; on les utiliserait aussi longtemps qu’une civilisation dirait de le faire et, lorsque le dernier homme disparaîtrait et que les truelles et les tondeuses s’effriteraient sous les écailles de rouille, chaque maison s’engloutirait sous la poussée des herbes, ensevelie à jamais.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test