Käännös "dejan a" ranskan
Käännösesimerkit
—¡Oh! Déjanos, déjanos entrar.
— Oh! laisse-nous, laisse-nous entrer.
Déjanos un poco más…
«Laisse-nous encore…»
—¡Porque me dejan fuera!
— Parce que je suis laissée pour compte !
—Tú déjanos a nosotros.
 Laisse-nous donc faire.
—Estamos hablando… Déjanos
— Nous causons… Laisse-nous…
Lo toman o lo dejan.
C’est à prendre ou à laisser.
No lo dejan entrar.
On ne le laisse pas entrer.
No se conforman con lo que les dejan.
Ils ne se contentent pas de ce qu’on leur laisse.
cuando él le pregunta si está bien, ella responde: «Tan bien como me dejan estar, John…, o sea, no mucho…».
Quand il lui demanda si elle allait bien, elle répondit : « Aussi bien, John, qu'on veut bien me le permettre — c'est te dire que c'est pas fameux...
Por debajo del constructor, del genio, imperaba la mentalidad de un burgués conformista y, si me dejan decirlo, algo corto de miras.
Sous le constructeur, le génie, dominait la mentalité d’un bourgeois conformiste et, si je puis me permettre, à la vue un peu courte.
Así pues, cuando la nieve remite lo suficiente para permitirles reunirse de nuevo con los Harland, los topógrafos, que han decidido viajar por separado, uno hasta el norte y el otro hacia el sur, para ver el país, devuelven a los Harland el edredón de su luna de miel para que puedan usarlo ellos y dejan amablemente que John Harland lance al aire uno de sus nuevos chelines de plata, que sale cara: Mason se encaminará al norte y Dixon al sur.
Ainsi, lorsque la neige diminue suffisamment pour leur permettre de rejoindre les Harland, les Géomètres, ayant décidé dorénavant de voyager chacun de son côté, l’un vers le Nord et l’autre vers le Sud, afin que de découvrir le pays, rendent aux Harland l’usage de leur Édredon de Lune de Miel et autorisent aimablement John Harland à lancer en l’air l’une de ses pièces neuves en argent d’un shilling, laquelle atterrit côté face, dépêchant Mason vers le Nord et Dixon vers le Sud.
Pero a la mañana siguiente, al recordar lo que había sucedido, contempló su cuerpo, y al verlo tan blanco a la luz del amanecer, pensó en el mármol y en cómo éste había sido hecho por el lento transcurrir de los siglos hasta quedar dispuesto para ser trabajado, y en cómo las hábiles manos dejan después sus huellas en él, dándole forma para unos cuantos siglos más. Y las manos de ella no eran más que carne y su cuerpo no era más que un momento para utilizar esa energía que existía en ella y no comprendía, pues ella sólo conocía el poder de su trabajo y no el por qué de que tenía que trabajar si tenía que vivir.
Mais, au matin, elle se souvint, elle se regarda et vit son corps tout blanc à l’aube ; elle songea au marbre durci par le lent travail des siècles, jusqu’à ce qu’il soit à point pour que la main l’utilise, et, lorsque cette main éphémère a imprimé sa trace et achevé son œuvre, le marbre demeure façonné pendant des siècles encore. Les mains de Susan n’étaient que chair, son corps ne comptait que pour un instant de la durée, afin de lui permettre de répandre une énergie qui demeurait pour elle le point le plus obscur de son être. Elle avait simplement conscience d’une force agissante et ne savait pas pourquoi, privée de cette force, elle ne saurait vivre.
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