Käännös "carta es carta" ranskan
Käännösesimerkit
La carta, la carta, la carta, se dijo a sí misma: lee la carta que tienes debajo de las narices.
La lettre, la lettre, la lettre, se dit-elle – lis donc la lettre que tu as sous les yeux.
—Y luego está lo de la carta. —¿La carta?
– Et il y a la lettre. – La lettre ?
—Me ha enseñado las cartas… Tus cartas
— Il m’a montré les lettres… Tes lettres
Y la carta, la carta…, la carta era para usted —dijo la señora Ramírez sacando una hoja blanca, cuidadosamente doblada, de un cajón de su escritorio.
Et la lettre, la lettre… la lettre était pour vous, dit-elle en sortant une feuille blanche soigneusement pliée dans un tiroir du buffet.
—¡Las cartas! ¡Las cartas, en seguida! ¿Dónde están?
– Les lettres ! les lettres, tout de suite ! Où sont-elles ?
Iremos a verlo, le entregaremos las cartas… —¿Las cartas?
Nous irons le voir pour lui remettre les lettres… – Les lettres ?
—Oye, ¿te has leído todas mis cartas? —¿Tus cartas? —dije.
— Dis, tu as lu toutes mes lettres ? — Tes lettres ?
Hoy he escrito una carta, esa carta no está en ninguna parte.
J’ai écrit aujourd’hui une lettre, cette lettre n’est point partie.
También hay cartas. Muchas cartas.
Il y a aussi des lettres, beaucoup de lettres.
Posiblemente la carta o cartas se habrían extraviado.
Peut-être la lettre, ou les lettres s’étaient-elles perdues ?
La realidad, pensó Roland con inquietud, era que estas cartas, estas cartas agitadas y apasionadas, no habían sido escritas para que él las leyera; como el Ragnarök, como Momia poseída, como el poema de Lázaro.
La vérité, pensa Roland avec gêne, était que ces lettres-ci, ces lettres denses et passionnées, n’avaient jamais été écrites pour que lui les lise – comme Ragnarök, comme La Momie possédée, comme le poème de Lazare l’avaient été.
Me habría conformado al menos con una llamada, pero no, no has entendido nada, pensaste que yo tengo la culpa de que tu familia resultara ser una mierda, y al final, ¿qué hiciste?, fíjate, me has escrito esta carta, esta carta a mí, para echarme en cara que no tengo estudios, para echarme en cara que tú sabes escribir y yo no.
Un coup de fil aurait suffi, mais non, toi t’as rien compris, au contraire, t’as cru que c’était ma faute si ta famille s’est révélée être une famille de merde. Et pour finir, qu’est-ce que t’as fait ? Vise un peu ça, tu m’as écrit cette lettre, là – une lettre comme ça, à moi –, pour me faire lourdement ressentir que j’ai pas fait d’études, pour me faire lourdement sentir que tu sais écrire et pas moi.
Pero aquel escritorio, aunque bellísimo, no era un lindo juguete donde una mujer se sentara a escribir cartitas, mordiendo la pluma y abandonándolo luego durante varias semanas, con la carpeta algo torcida. Las casillas interiores estaban marcadas: «Cartas pendientes», «Cartas para archivar», «Casa», «Finca», «Menú», «Varios», «Direcciones». Los rótulos estaban todos escritos con aquella letra muy sesgada y picuda que ya conocía.
Mais ce bureau, si beau qu’il fût, n’était pas un de ces jolis joujoux où une femme griffonne de petits billets en suçant le bout d’un porte-plume qu’elle abandonne pendant des jours entiers en travers de son sous-main. Le classeur était étiqueté : « lettres sans réponse », « lettres à conserver », « ménage », « domaine », « menus », « divers », de cette même écriture pointue que je connaissais déjà.
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