Перевод для "t'achète" на испанский
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Qu’est-ce que Nicolò Montalbano avait bien pu acheter avec l’argent du sang ? Et qu’est-ce que cet argent était devenu après sa mort ?
¿Qué compró Montalbano con el dinero manchado de sangre y qué fue de esa fortuna cuando él murió?
Le papier, couvert de taches de gras, avait servi à envelopper un sandwich acheté au Talisman Café.
El papel, una servilleta para envolver bocadillos del Talismán Cafe, estaba manchado de grasa.
C’est un reçu taché de sang pour de l’essence achetée dans une station-service de Junction, Texas. Bon, dit-il.
Era un recibo, manchado de sangre, de una estación de servicio en Junction, Texas. Bien, dijo.
J’installai Imma dans la voiture et la grondai parce qu’elle avait laissé sa glace dégouliner sur sa robe achetée pour l’occasion.
Senté a Imma en el coche, la regañé por cómo se había manchado el vestido con el helado comprado para la ocasión.
Des copies jaunies, abîmées, de documents, de faux papiers achetés à Berne, à Zurich, à Lisbonne.
Copias de documentos, deterioradas, manchadas, tantas, que eran obviamente documentos falsos comprados en Berna, Zurich y Lisboa.
Mais je sais que le Jumeau se servait de son argent sale pour vous acheter des propriétés et vous les revendre ensuite à un prix astronomique.
Pero yo sé que el Gemelo empleó su dinero manchado de sangre para comprar propiedades a Iversen que luego volvía a venderles a un precio mucho más elevado.
L’argent du sang lui a permis d’acheter les Joyaux du Paradis, mais rien n’aurait pu lui permettre de racheter sa virilité, son honneur et sa beauté.’
Con el dinero manchado de sangre que le dieron compró las joyas del Paraíso, pero nada podría conseguirle hombría ni honor ni belleza’.
Prends cet argent qui est teinté du sang d’Abel et va dans les magasins et achète-toi de jolies robes et des parfums et des fards ! » Mais, mes frères !
¡Coge este dinero manchado con la sangre de Abel y vete a la tienda a comprarte trajes bonitos, perfumes y afeites! Pero ¡ah, hermanos!
Est-ce que c’est de l’argent taché de sang qui a payé tes études, qui t’a nourri, qui t’a permis de t’acheter des chewing-gums, des bandes dessinées et tous ces trésors de l’enfance ?
¿Era dinero manchado de sangre lo que le había pagado el colegio, le había llenado el estómago, le había permitido comprar chicles y cómics y el resto de tesoros de su infancia?
Il portait un pardessus gris, moucheté de points rougeâtres, dont la laine était de mauvaise qualité et qu’il avait acheté en confection, ce qui ne l’empêchait pas d’en être assez fier.
Llevaba un abrigo gris moteado de puntos rojizos, de lana de mala calidad, que había comprado hecho, lo que no le impedía estar muy orgulloso de él.
Oui, c’était ridicule, mais sérieux : l’inélégance était mon fait, je n’avais pas besoin de me creuser beaucoup la tête pour me rendre compte que mes nouveaux copains de l’université étaient mon monde, ces poètes phtisiques qui se réunissaient au bar Hercule, avec leurs souliers mouillés tigrés de la sciure de bois du sol, qui jouaient aux dominos avec quelque porteur de la gare voisine, les uns anarchistes, les autres décadents, adieu les cours, j’avais déjà vendu les miens pour m’acheter du tabac, pas question de parti traditionaliste ni de cravates ni de noms ronflants, mes amis mal rasés n’allaient presque jamais aux cours, ils se réunissaient à l’Hercule, essentiellement pour se moquer des professeurs, pour ouvrir une caisse envoyée par une nostalgique mère campagnarde du Sud parce qu’on avait tué le cochon et qu’on voulait que le petit mange de l’andouille, du roulé et du jambon avec ses amis, on pouvait lui envoyer si peu d’argent pour ses études, cette caisse fleurant l’ají, le coriandre et l’ail aiderait au moins à passer les froids, du café pour rester éveillé, le bout des nerfs effilé, amis, copains, puant le vin, l’écharpe toujours enroulée autour du cou, car il faisait froid à l’Hercule et dans les pensions qu’ils habitaient et dans les rues qu’ils faisaient à pied, trempés de pluie, les semelles usées, un trou dans la chaussure bouché par en dedans avec du carton, mais toujours à pied car il faut économiser les quelques centimes du trajet en bus pour offrir un canon de rouge à un ami, il faut vendre ses cours, mettre sa montre au clou, à quoi ça te sert d’écrire, Humberto, si tu n’as pas le premier sou pour publier, et pour qu’un éditeur te publie, il faut avoir des relations, un nom, et toi, tu n’as pas de nom, dégoût de l’étude et de Nietzsche dont on ne parle même plus, car c’est l’affaire des petits bourgeois de première et de seconde année, et des dandies à guêtres de daim.
Sí, ridículo pero serio: esa cursilería era lo mío, no necesitaba saltos ni puentes para darme cuenta de que eran lo mío mis nuevos compinches de la universidad, esos poetas tísicos que se reunían en el bar Hércules, los zapatos mojados moteados por el aserrín del suelo, jugando dominó con algún gorra colorada de la estación vecina, anarquistas algunos, decadentes otros, pobres todos, adiós a los textos, yo ya había vendido los míos para comprar tabaco, nada de partido tradicional ni de corbatas ni de apellidos decorativos, mis amigos mal afeitados casi nunca iban a clase, se reunían en el Hércules más que nada para reírse de los profesores, para abrir un cajón que una nostálgica madre campesina mandó desde el sur porque habían matado el chancho para que el niño comiera prietas y arrollado y perniles con sus amigos, era tan poca la plata que le podían mandar para sus estudios que por lo menos ese cajón perfumado de ají y cilantro y ajo lo ayudaría a pasar los fríos del invierno, café para mantenerse despierto, las puntas de los nervios afiladas, amigos, compinches, hediondos a vino tomado con las chalinas enrolladas en el cogote porque hacía frío en el Hércules y en las pensiones en que vivían y en las calles que recorrían a pie, mojados por la lluvia, la suela de un zapato gastada, un hoyo tapado por dentro con cartón, pero a pie porque hay que ahorrar los centavos del pasaje en tranvía para la caña de tinto que convidarle al amigo, vender los textos de estudio, empeñar el reloj, qué sacas con escribir, Humberto, si no tienes ni un peso para publicar y para que un editor te publique necesitas influencia, un nombre y tú no tienes nombre, desgano por el estudio y por Nietzsche del que ya ni siquiera hablamos porque ésas son cosas de los burguesitos de primer y segundo año y de los pijes de polainas de gamuza.
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