Перевод для "pourpoint" на испанский
Фразы в похожем контексте
Примеры перевода
Le jeune roi de Bohème, un passionné de sciences, s’approcha de la table avec enthousiasme et, les mains dans le dos, se pencha pour examiner les cornues. Il était vêtu d’un costume de chasse vert, d’un pourpoint, de chausses et d’un chapeau pointu.
Era el joven Rey Científico de Bohemia, que caminaba entusiasmado hacia el banco para ver los crisoles, con las manos en la espalda, vestido de color verde oscuro, doblete y un sombrero de pico. —¿Qué es esto?
L’un portait un pourpoint jaune.
Uno de ellos vestía un jubón amarillo.
De l’homme au pourpoint jaune.
Del hombre del jubón amarillo.
Je ramassai culottes et pourpoint.
Recogí calzones y jubón.
— Bottes et pourpoints de cuir.
—Botas y jubones de cuero.
Il ôta son pourpoint et sa chemise.
Se quitó el jubón y la camisa.
Un homme sans pourpoint et sans écharpe.
Un hombre sin jubón y sin capa.
Il est descendu à la cuisine, où était votre pourpoint.
Bajó a la cocina, donde estaba vuestro jubón.
J’ajustai mon pourpoint et ramassai mon chapeau.
Me abotoné el jubón y requerí mi sombrero.
Mis à part les pourpoints, ils étaient nus.
Bajo los jubones, iban desnudos.
Une flèche traversa son pourpoint de cuir ;
Una flecha le atravesó el jubón de cuero;
Elle pense à cette question que Simon lui a posée, l’autre jour, à brûle-pourpoint : « À partir de quand on est un couple ? » Elle préparait le repas, il s’était installé près d’elle pour faire ses devoirs.
Piensa en esa pregunta que le hizo Simon el otro día, a bocajarro: —¿A partir de cuándo se es una pareja? Ella estaba preparando la comida, él se había sentado cerca de ella para hacer los deberes.
Nous marchions en sens inverse sur San Lorenzo en direction d’Insurgentes, le Negro Félix criant encore derrière moi que ce n’était pas possible que cette “pouilleuse de merde” ait refusé de me rendre mon carnet, tandis que moi j’étais tiraillé par des émotions malsaines, d’un côté j’avais envie de hurler à mon compagnon qu’il disparaisse sur-le-champ, qu’il dégage, qu’il me laisse seul, et d’un autre côté je m’en voulais parce que j’étais le seul coupable de ce qui m’arrivait, c’était moi qui avais appelé le Negro Félix pour qu’il me rejoigne au Sanborns, au lieu de soigner ma gueule de bois tout seul avant d’aller déposer le chèque et d’acheter le billet d’avion, ainsi que le dictait le bon sens, non, j’avais cru bon d’appeler précisément le Negro Félix. Nous marchions ainsi, ensemble mais chacun dans ses pensées quand, après avoir traversé, j’ai entendu une voix dans mon dos qui disait : “Hé, vous deux, là !”, une voix vers laquelle je me suis retourné pour découvrir qu’il s’agissait de deux flics dans un véhicule de patrouille en train d’avancer lentement derrière nous, comme pour nous escorter, le temps d’évaluer à qui ils avaient affaire. “Arrêtez-vous !” a ordonné le gros à visage porcin qui était au volant, tout en garant la voiture et en s’apprêtant à ouvrir la portière, un ordre face auquel ma première impulsion a été de me mettre à courir à toutes jambes, réaction normale pour quelqu’un de mon pays, et par conséquent normale aussi pour le Negro Félix, dont les traits ont changé radicalement, comme sous l’effet de la même combustion que je ressentais moi-même, qui venait de brûler la dernière goutte d’alcool dans mon sang, pris totalement par surprise, mon compagnon au milieu de sa péroraison et moi en plein effondrement, et après avoir été fauchés net par la peur, nous n’avions plus qu’à attendre pétrifiés que les flics nous abordent, le gros au visage porcin et un petit maigre avec une moustache à la Cantinflas qui nous a lancé à brûle-pourpoint : “Alors, jeunes gens, c’est quoi ce tapage à une heure pareille ?”
Caminábamos sobre San Lorenzo de regreso hacia Insurgentes, el Negro Félix aún gritoneando a mi espalda que no era posible que «esa cholera de mierda» se hubiera negado a regresarme mi libreta, y yo tironeado por emociones malsanas, pues por un lado tenía ganas de espetarle a mi acompañante que desapareciera en el acto, que se esfumara, que me dejara solo, y por el otro me recriminaba que fuera yo el único culpable de que me sucediera lo que me estaba sucediendo, porque era yo quien había llamado al Negro Félix para que llegara al Sanborns, en vez de quitarme la resaca a solas y luego ir a depositar el cheque y comprar el boleto aéreo, como el sentido común dictaba, no, se me había tenido que ocurrir llamar precisamente al Negro Félix. En ésas íbamos, juntos pero cada cual en su mundo, cuando luego de cruzar la bocacalle oí a mis espaldas una voz que decía «¡Jóvenes!», una voz hacia donde me volví de inmediato para descubrir que se trataba de una pareja de policías que en un autopatrulla avanzaban lentamente tras de nosotros, como escoltándonos, tomándonos la medida. «¡Deténganse!», ordenó entonces el gordo de nariz porquina que iba al volante, mientras aparcaba el auto y se aprestaba a abrir la portezuela, una orden ante la cual mi primer impulso fue salir a la carrera, a todo lo que dieran mis piernas, reacción normal para alguien procedente del país de donde yo procedía, y por tanto normal también para el Negro Félix, cuyo semblante sufrió una súbita transformación a causa de la misma combustión que yo padecía y que quemó hasta la última gota de alcohol en mi sangre, tan desprevenidos veníamos, mi acompañante en su perorata y yo en mi aturdimiento, que luego de la estocada de miedo no hicimos más que esperar demudados a que los agentes nos abordaran, el gordo de la nariz porquina y un chaparrín menudo con bigotito a lo Cantinflas, quien a boca de jarro nos dijo: «¿Qué pasó, jovenazos, por qué haciendo escándalo tan temprano?».
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test