Перевод для "ils empoisonnés" на испанский
Примеры перевода
— Celui qui a été empoisonné ?
—¿Ese al que envenenaron?
— Vous avez été empoisonnée, Votre Majesté.
—Os envenenaron, Majestad.
Ils se sont mutuellement empoisonnés.
Se envenenaron mutuamente.
On dit qu’il a été empoisonné.
Se dice que lo envenenaron.
– On l’a empoisonné au parathion.
—Lo envenenaron con pesticida.
Il a été empoisonné au cyanure.
Lo envenenaron con cianuro.
Je crois qu’on l’a empoisonné.
Creo que lo envenenaron.
En d’autres termes, il a été empoisonné.
En otras palabras, lo envenenaron.
— Elle avait été empoisonnée, dit Peter.
–La envenenaron –dijo Peter–.
— Comment avez-vous compris qu’ils l’ont empoisonné ?
—¿Cómo supo que lo envenenaron?
 Stannall pense que tu as été empoisonné. — Bien sûr, il le pense… maintenant.
—Stannall opina que te envenenaban. —Sí, lo cree... ahora.
Shifrah Puah la pressait de consulter un médecin ; Masha lui répondait qu’elle ne croyait pas aux médecins, ces charlatans qui ne savent qu’empoisonner leurs malades.
Shifrah Puah la instaba a que fuese al médico, pero Masha replicaba que no tenía fe en los médicos, y juraba que estos envenenaban a sus pacientes.
À en juger par les contusions que présentait Helga, les médecins supposèrent qu’au moment où on l’avait empoisonnée, elle avait repris conscience et s’était débattue, et qu’on avait dû la maintenir de force.
De las magulladuras de Helga dedujeron los médicos que se había despertado mientras la envenenaban, había luchado y la tuvieron que sujetar para que siguiera tendida.
beaucoup finissaient empoisonnées, à force de mouiller leur pinceau avec la bouche », a chuchoté Johansson.
«El coloreado era un trabajo de mujeres y se hacía completamente a mano: muchas artesanas se envenenaban a fuerza de humedecer el pincel con la boca», susurró Johansson.
Puis Chilon, avec un certain étonnement, se mit à raconter que jamais il n’avait vu les chrétiens se livrer à la débauche, empoisonner les puits et les fontaines, adorer un âne ou se repaître de chair d’enfant, en un mot, se montrer les ennemis du genre humain.
Y aquí, Quilón empezó a referir cómo había notado, no sin sorpresa, que esas gentes no se entregaban a prácticas licenciosas, ni envenenaban los pozos ni las fuentes, ni eran enemigos de la raza humana, ni adoraban a un asno, ni comían carne de niño.
Les nobles et les esclaves qui avaient le courage de s’aventurer dans les caves du château avaient affirmé avoir entendu un long et profond gémissement relayé par la terre et la pierre. Parfois, des nuages de vapeurs toxiques avaient filtré par les failles du sol et empoisonné les imprudents.
Los nobles y esclavos lo bastante valientes para aventurarse por las bodegas del castillo afirmaron haber oído un lento y profundo gemido que reverberaba a través de la tierra y la piedra, y dijeron que a veces se veían nubes de gases nocivos que emanaban a través de las grietas del suelo y envenenaban a los incautos.
Heureusement, le frère cadet de grand-père Josué, Elías, était étudiant en médecine, et il connaissait le traitement de la syphilis, un processus très long et douloureux, car pour traiter les personnes il fallait empoisonner leur corps avec de l’arsenic, du mercure et diverses choses, ce qui fait que les gens ou bien mouraient ou bien guérissaient.
Por suerte que el hermano menor del abuelito Josué, Elías, estudiaba ya medicina, y en esos días ya había tratamiento para la sífilis, una cosa muy larga y dolorosa, pues para tratar a las personas les envenenaban todo el cuerpo con arsénico, con mercurio, con varias cosas, y la gente se moría o se aliviaba.
Il était accusé d’avoir empoisonné un Français, patron d’une fabrique de teintures dans le quartier de Tlalpan, en lui ayant servi au dîner du raisin avec de l’acide prussique qu’on utilisait pour la laine, et lui, José Mateos, disait : « Pas un assassinat, une juste vengeance, c’est différent », parce que les vapeurs de cet acide dans les bassins de macération empoisonnaient les ouvrières qui devaient respirer ces saloperies, sans ventilation ni temps de repos.
Lo acusaban de haber envenenado a un francés dueño de unas fábricas de tintes por Tlalpan dándole de cenar uvas con ácido prúsico del que usaba para las lanas, y él dijo, él, José Mateos: «Justa venganza, no asesinato, hay diferencia»; porque con los humores de ese ácido en las tinas de cocción, los vapores, se envenenaban las operarias que tenían que respirar aquellas chingaderas jornadas de 16 horas y sin ventilaciones ni descansos.
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