Перевод для "que contenían" на французcкий
Примеры перевода
Todas ellas, salvo la suya, contenían un cuerpo.
Chacun, sauf le sien, contenait un corps.
Las tumbas contenían toda clase de objetos simbólicos;
Elle contenait toutes sortes d’objets symboliques.
Los de arriba contenían talonarios de cheques aún sin utilizar.
Celui du haut contenait des carnets de chèques qui n’avaient pas servi.
En teoría, el morral de Jamie y mi bolsita contenían una fortuna considerable.
En théorie, la bourse de Jamie contenait une fortune.
Dalgliesh levantó la bolsa que contenían los zapatos y comentó: —Es posible.
Dalgliesh souleva le sac qui contenait les chaussures. « C’est possible », fit-il.
Había cientos, y casi todos ellos contenían teléfonos. El guardia se dio cuenta.
Il contenait des centaines de casiers, quasiment tous pourvus d’un téléphone portable.
– Sospecho que una foto contenía un programa de descodificación y las otras contenían los archivos.
— Je pense que l’une des photos comportait un programme de décryptage et que l’autre contenait les fichiers.
Las pocas decenas de hojas de la libreta contenían otras ilustraciones y más anotaciones incomprensibles.
Le petit nombre de feuillets contenait d’autres dessins et notes incompréhensibles.
A cada lado del cuarto había unos armeros que contenían las espadas y los fusiles de los soldados.
À l’autre bout de la pièce, un râtelier contenait les épées et les armes à feu de ces hommes.
Porque la inmensa mayoría de las chocolatadas no contenían más que eso, un inocente cacao hervido con azúcar.
Car l’immense majorité des boissons ne contenait qu’un innocent cacao bouilli avec du sucre.
Al menos, allí había algunos tubérculos podridos que nos tragamos, y Gregor afirmó que contenían muchas vitaminas.
Au moins, il y a là quelques tubercules pourris que nous nous fourrons dans l’estomac et Gregor soutient que ça contient énormément de vitamines.
Pero los expedientes de homicidio de casos antiguos rara vez contenían actualizaciones sobre muertes, matrimonios y desplazamiento de personas.
Cela dit, dans les affaires anciennes, le livre du meurtre ne contient que rarement des mises à jour concernant les mariages, décès et déménagements des individus.
Es verdad que no contenían nada demasiado secreto (aquí no habría puesto nada demasiado secreto por escrito) pero esas notas contienen algunas frases indiscretas…
Tout cela ne contient rien de très confidentiel, c’est vrai – je ne m’amuserais pas à mettre des secrets sur le papier dans les conditions présentes – mais il y avait certaines phrases indiscrètes…
Estaba también el problema, planteado por Rutherford y Soddy años antes en el mismo siglo, de que los elementos térreos contenían inmensas reservas de calor… demasiado para que fuese posible el tipo de enfriamiento y arrugamiento que proponía Suess.
En outre, Rutherford et Soddy avaient montré dès le début du XXe siècle que la Terre contient d’énormes réserves de chaleur – bien trop pour permettre le processus de refroidissement et de contraction avancé par Suess.
Ella giraba y la mano que no estaba en su cuello bajaba la cremallera de la espalda del desaliñado vestido negro de Marcia. Luego, desde otro ángulo, Janet vio entre los labios de Marcia, como un cigarrillo, la calada de crueldad que adquiría su expresión —Janet lo había notado— cada vez que estaba muy cansada o muy a sus anchas. Para Marcia, los ojos de Janet, fijos desde el otro lado del salón, parecían inmensos, tan dilatados que contenían toda la estancia en su círculo visual a la manera en que una pista de baile con suelo metálico contiene, distorsionado y comprimido, a todo un barrio. La delicada mano de Frank desabrochó su sostén;
Elle tourbillonna et la main de Frank qui n’était pas sur la gorge de Marcia ouvrit la fermeture-Éclair dans le dos de la robe noire sans élégance. Puis, d’un autre angle, Janet vit, serrée entre les lèvres de Marcia comme une cigarette, cette fourche de cruauté qui lui montait toujours au visage (Janet l’avait remarqué) quand elle était très fatiguée ou très à l’aise. Pour Marcia, les yeux de Janet la dévisageant à travers la pièce apparaissaient immenses, si dilatés qu’ils contenaient tout l’espace dans leur champ de vision comme une boule de métal sur une pelouse contient, déformé et réduit, un voisinage entier.
Entonces el viejo volvió a andar, agarrándose a la túnica de José, como si le huyeran las fuerzas, y dijo, Anoche, después de retirarme a dormir, tuve una visión, Una visión, Sí, pero no una visión de ver cosas, como siempre acontece, fue más bien como si pudiese ver lo que está detrás de las palabras aquellas que dijiste, que si tu hijo no hubiera nacido aún cuando llegase el último día del censo, sería porque el Señor no quiere que los romanos sepan de él y lo pongan en sus listas, Sí, yo dije eso, pero qué viste tú, No vi cosas, fue como si, de pronto, tuviese la certeza de que sería mejor que los romanos no supieran nada de la existencia de tu hijo, que nadie supiera nunca nada de él y que, si ha de venir a este mundo, al menos que viva en él sin pena ni gloria, como aquellos hombres que allí van y las mujeres que ahí vienen, ignorado, como cualquiera de nosotros, hasta la hora de su muerte y después de ella, Siendo su padre lo que yo soy, es decir nada, un carpintero de Nazaret, esa vida que le deseas es la que seguramente va a tener, No eres tú el único que dispone de la vida de tu hijo, Sí, todo el poder está en el Señor Dios, él es quien lo sabe, Así fue siempre y así lo creemos, Pero háblame de mi hijo, qué has sabido de mi hijo, Nada, sólo aquellas palabras tuyas que, en un relámpago, me pareció que contenían otro sentido, como si mirando por primera vez un huevo tuviese la percepción del pollito que hay dentro, Dios quiso lo que hizo e hizo lo que quiso, en sus manos está mi hijo, yo nada puedo, En verdad, así es, pero estos son aún los días en los que Dios comparte con la mujer la posesión del niño, Que después, si es varón, será mía y de Dios, O sólo de Dios, Todos lo somos, No todos, hay algunos que andan divididos entre Dios y el Diablo, Cómo saberlo, Si la ley no hubiera silenciado a las mujeres para todo y para siempre, tal vez ellas, porque inventaron aquel primer pecado, del que todos los demás nacieron, supieran decirnos lo que nos hace falta saber, Qué, Qué partes divina y demoníaca las componen, qué especie de humanidad llevan dentro de sí, No te comprendo, creo que estabas hablando de mi hijo, No hablaba de tu hijo, hablaba de las mujeres y de cómo generan los seres que somos, si no será por voluntad de ellas, si es que lo saben, por lo que cada uno de nosotros es este poco y este mucho, esta bondad y esta maldad, esta paz y esta guerra, revuelta y mansedumbre.
Alors le vieillard se remit en marche, se cramponnant à la tunique de Joseph, comme si ses forces le fuyaient, et il dit, Hier dans la nuit j’ai eu une vision, Une vision, Oui, mais pas une de ces visions où on voit des choses, comme cela arrive toujours, ce fut plutôt comme si je pouvais voir ce qui est derrière les mots, les tiens, quand tu as dit que si ton enfant n’était pas encore né quand arriverait le dernier jour du recensement, ce serait parce que le Seigneur ne voulait pas que les Romains soient au courant de son existence et qu’ils l’inscrivent sur leurs listes, Oui, j’ai dit cela, mais toi qu’as-tu vu, Je n’ai rien vu, ce fut comme si soudain j’avais la certitude qu’il vaudrait mieux que les Romains ne soient pas au courant de l’existence de ton enfant, que personne ne soit jamais au courant, et que s’il doit venir au monde, au moins qu’il y vive sans douleur ni gloire, comme ces hommes qui marchent là-bas et ces femmes qui s’approchent, ignoré comme l’un d’entre nous jusqu’à l’heure de sa mort et après sa mort, Son père étant ce néant que je suis, un charpentier de Nazareth, la vie que tu lui souhaites est ce que mon enfant peut avoir de plus certain, Tu n’es pas le seul à disposer de la vie de ton enfant, Oui, tout le pouvoir appartient au Seigneur Dieu, il est celui qui sait, Il en a toujours été ainsi et ainsi croyons-nous, Mais parle-moi de mon enfant, qu’as-tu appris à propos de mon enfant, Rien, seulement ces mots que tu as prononcés et qui, en un éclair, m’ont paru renfermer un autre sens, comme si, regardant pour la première fois un œuf, j’avais eu la perception du poussin qu’il contient, Dieu a voulu ce qu’il a fait et a fait ce qu’il a voulu, mon enfant est entre ses mains, je ne peux rien, En vérité, il en est bien ainsi, mais nous en sommes encore au temps où Dieu partage avec la femme la possession de l’enfant, Qui ensuite, si c’est un mâle, m’appartiendra à moi et appartiendra à Dieu, Ou seulement à Dieu, Nous lui appartenons tous, Pas tous, certains sont partagés entre Dieu et le Démon, Comment le savoir, Si la loi n’avait pas obligé les femmes à se taire à tout jamais, peut-être parce qu’elles ont inventé ce premier péché d’où tous les autres sont issus, elles sauraient nous dire ce qu’il nous faudrait savoir, Quoi, Quelles sont les parts, divine et démoniaque, qui les composent, quelle sorte d’humanité elles portent en elles, Je ne te comprends pas, je croyais que tu parlais de mon enfant, Je ne parlais pas de ton enfant, je parlais des femmes et de la façon dont elles engendrent les êtres que nous sommes, n’est-ce pas par leur volonté, pour autant qu’elles en soient conscientes, que chacun de nous est ce peu et ce beaucoup que nous sommes, bonté et méchanceté, paix et guerre, révolte et douceur.
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test