Перевод для "pelo por pelo" на французcкий
Примеры перевода
Andy Gibb: pelo, pecho, pelo, cadenas, pelo, dientes, pelo, pelo.
Andy Gibb : cheveux, poitrail, cheveux, chaînettes, cheveux, dents, cheveux, cheveux.
Pensé en terminar de secarme el pelo. El pelo. Mi cabeza.
Je me suis dit qu’il fallait que je me sèche les cheveux. Les cheveux. Ma tête.
con la cabeza en la mano, que llevaba cogida por el pelo, el pelo rojo fuego,
serrant sa tête, que vous teniez par les cheveux, ces cheveux rouge feu,
Aquella cosa, aquel baúl, estaba lleno de pelo. —¿Pelo? —Pelo de mujer, cortado y enganchado todo junto.
Et ce machin, cette cantine, elle était pleine de cheveux. — De cheveux ? — Des cheveux de femmes. Coupés et fourrés là-dedans en vrac.
Con pelo, sin pelo, con barba, sin barba, todo eso. Estoy intentando convencer a Tony Case para que invirtamos en él para nuestro departamento.
Avec des cheveux, sans cheveux, avec une barbe, sans, tout ça… J’ai essayé de persuader Tony Case qu’ils devraient investir et en acheter un pour la PJ.
El pelo. El pelo de Selina, prensado y trenzado en una' soga gruesa, y atado con un tosco cordel de la cárcel en el punto donde se lo cortaron.
    Ses cheveux. Ses cheveux, tressés serré en une corde solide qu'on avait nouée d'un bout de grosse ficelle là où les ciseaux avaient tranché.
Logró ver: óvalo blanco blanquísimo, ojos grandes grandísimos, entre castaño y verde, y el pelo, el pelo rojo, corto tieso rojo.
Il l’aperçut : un ovale très blanc, de très grands yeux, des yeux d’étang, et les cheveux, les cheveux roux, courts, raides et roux.
El material asqueroso dentro de la habitación se arremolinó todo junto, parte por parte, pelo por pelo, partícula por partícula, y extendió su sustancia a una altura por encima de los dos metros.
Les répugnantes matières réunies là s’assemblèrent en tourbillonnant, parcelle par parcelle, cheveu par cheveu, particule par particule, et la forme qui en résulta s’étira en hauteur jusqu’à dépasser nettement deux mètres.
Sacando la punta de la lengua lateralmente mientras se esmera en untarle, pelo por pelo, con el tinte, inicia algunos temas de conversación automáticos: tiempo que hace, barrio donde viven, próximas vacaciones.
Tirant un bout de langue latéral en s’appliquant à l’enduire, cheveu par cheveu, de teinture, elle aborde quelques sujets de conversation automatiques : temps qu’il fait, quartier où l’on habite, vacances que l’on prendra.
tiene, ojos, boca, mentón, nariz, raíz del pelo y pelo, cejas, tono de la piel, arrugas, expresión, tal vez todo eso debiera responder culpadamente por el único borrón confuso que pude trasladar a la tela y que ni en el segundo retrato ha ganado claridad.
d’être visage, yeux, bouche, menton, nez, racine des cheveux et cheveux, sourcils, coloration de la peau, rides, expression, peut-être que tout cela est responsable à tort du pâté confus que j’ai transposé sur la toile et qui n’est pas devenu plus clair sur le deuxième tableau.
Su piel olía a piel, su pelo a pelo.
Sa peau sentait la peau, ses cheveux sentaient les cheveux.
Le puse barbas, bigotes, cicatrices, pecas, nariz chata, nariz aguileña, nariz corta, nariz borbónica, nariz griega, armaduras, broches, pelo corto, pelo largo, gorros, tocas de piel, cascos, belfos, labios leporinos… Nunca sacaba nada en claro.
Je lui ai donné des barbes, des moustaches, des cicatrices, des taches de rousseur, des nez camus, des nez aquilins, des nez épatés, des nez bourboniens, des nez grecs, des armures, des broches, des cheveux courts, des cheveux longs, des bonnets, des toques de fourrure, des casques, des lippes, des becs-de-lièvre… Je ne m’y retrouvais jamais.
Vio aquellos ojos oscuros acercándose, vio la boca, los labios entreabiertos, sintió su aliento —cálido, áspero, algo denso—, olió su aliento, que le pareció húmedo y algo fétido —le recordó con cierto vértigo a la granja, a los peones cargando puercos muertos colgados de las patas traseras, volcando la sangre que manaba de sus gargantas degolladas en cubas enormes—. Se sumergió en su aliento, un aliento agrio que tenía algo de seco y rancio y viejo, muy viejo, y en un desfallecimiento se echó a reír, todo su cuerpo le hacía cosquillas, hasta el delirio, un delirio frenético y delicioso, y no le importaba su aliento, no le importaba en absoluto, ni su agitación, ni su impaciencia, ni su rudeza, el rechinar de sus dientes contra los de ella en un beso violento…, no le importaba en absoluto…, en absoluto…, quería gritar, golpearlo con sus puños…, quería chillar…, quería agitarse en la cama…, quitarse las sábanas opresoras de una patada…, y tenía mucho calor…, estaba bañada en sudor…, olía su propio cuerpo, el calor de su cuerpo…, le daba vergüenza, pero también le fascinaba…, tenía ganas de reírse a carcajadas…, tenía ganas de agarrar a su amante…, agarrarlo del pelo, del pelo, y aporrearlo y presionar su cabeza contra la de ella, el rostro de él contra sus senos…, así…, sí, exactamente así…, no lo soportaba, no soportaba lo que él le estaba haciendo…, sus labios, su lengua, sus dientes súbitamente duros…, no lo podía soportar…, iba a gritar, iba a enloquecer, resoplando, gritando, arañándolo con las uñas… Mi amante, mi prometido, gritaría, mi esposo, mi alma… Con el correr de los días y las semanas, Verónica cayó en un estado aún más profundo de lánguida y dulce melancolía.
Elle vit ses yeux noirs humides se rapprocher, elle vit sa bouche, ses lèvres entrouvertes, et sentit son haleine – son haleine chaude et rude qui empestait la viande – elle respira cette odeur désagréable, un peu fétide – qui lui rappela la ferme avec une sensation de vertige – les ouvriers agricoles tirant les carcasses – les cochons pendus par les pattes de derrière – le sang jaillissant de leur gorge ouverte dans d’énormes tuyaux… Elle aspira son haleine, qui était aigre et sentait le desséché, le rance, le vieux, et, sur le point de défaillir elle se mit à rire, elle se sentait chatouillée partout, chatouillée jusqu’au délire, un délire délicieux et frénétique, et son haleine ne la dérangeait pas, mais pas du tout, ni son agitation, son impatience, sa brusquerie, ses dents se cognant contre les siennes dans la dureté de son baiser – ça ne la dérangeait pas du tout – pas du tout – elle avait envie de crier, de le marteler de ses poings – elle avait envie de hurler – de se débattre sur le lit – de repousser les couvertures, qui pesaient sur elle d’une façon aussi exaspérante – et elle avait si chaud – elle luisait de transpiration – elle sentait l’odeur de son propre corps, la chaleur qui en émanait – c’était honteux, et pourtant délicieux – cela lui donnait envie d’éclater de rire – de s’agripper à son amant – de l’attraper par les cheveux, par les cheveux, de le bourrer de coups de poing, d’attirer sa tête contre elle, son visage sur ses seins – comme ça – oui, exactement comme ça – elle ne pouvait supporter ce qu’il lui faisait – ses lèvres, sa langue, la dureté soudaine de ses dents – elle ne pouvait le supporter – elle allait crier, devenir folle, éclater, hurler, le déchirer de ses ongles… Mon amant, mon fiancé, criait-elle, mon époux, mon âme…
How many English words do you know?
Test your English vocabulary size, and measure how many words you know.
Online Test