Перевод для "las meriendas" на французcкий
Примеры перевода
- Creí que llevaban su merienda.
— J’ai cru que c’était leur collation qu’ils emportaient...
—¡Es verdad, es la hora de la merienda!
C’est vrai, fis-je, c’est l’heure de la collation !
Había subido su merienda a las ocho y media.
Elle avait monté sa collation à huit heures et demie.
Cuatro mozos de esmoquin trajeron la merienda.
La collation fut apportée par quatre mozos en smoking.
Después de la Merienda, Abnesti me llamó a Control.
Après la Collation, Abnesti me fit venir au Contrôle.
Al cabo de unos minutos entra una mujer a traerle la merienda.
Quelques minutes plus tard, une femme entre dans la chambre pour lui proposer une collation.
Bonaparte me había vestido de lacayo y me había ordenado que le llevase la merienda a su alteza.
Bonaparte m’avait accoutré en laquais et ordonné d’emmener Son Altesse prendre une collation.
A Felicia le daba una rabia tremenda tener que servir, encima, algo de merienda.
Cela agaçait Felicia car elle était obligée d’offrir une collation à ces dames.
—Sigo teniendo mi ático en el South Central —estaba diciendo Lionel mientras terminaba la merienda—.
« J’ai encore mon penthouse au South Central, dit Lionel en terminant sa collation.
—¡Una merienda para dos! —repetí, estremeciéndome de pies a cabeza—. ¡De cinco a siete!
– Une collation pour deux répétai-je en tressaillant de la tête aux pieds, entre cinq et sept ! – Exactement !
Una merienda como almuerzo, y después tendría que aventurarse hasta Dorchester.
Un petit en-cas en guise de repas, puis elle devrait s'aventurer à Dorchester.
Compré desayuno, compré almuerzo, compré cena, compré tentempiés de media mañana, meriendas, aperitivos, banquetes de medianoche.
J’ai acheté des petits déjeuners, j’ai acheté des déjeuners, j’ai acheté des dîners, j’ai acheté des pauses café matinales, des pauses thé d’après-midi, des amuse-gueule à grignoter avec l’apéritif, des en-cas de minuit.
Sería un día largo, interrumpido por tazas de cafés, y cajas de cartón con meriendas, cuyos contenidos ella no podría describir detalladamente cinco minutos después de comerlos, tan intensa era su concentración.
Sa journée fut donc longue, ponctuée par la consommation de gobelets de café et d'en-cas qu'elle n'aurait su décrire cinq minutes après les avoir mangés tant elle était concentrée.
Era viernes, y la idea era esta: tomarían un almuerzo tardío, o una cena temprana, o una buena merienda a eso de las cinco y media, y luego, los que quisieran, harían una incursión —patrocinada por Adriano— a una especie de club nocturno de Montale. Así al menos se lo hizo saber a Keith —con indiferencia— Gloria, que estaba sola en el patio con el bloc de dibujo en el regazo. Keith dijo: —¿Dónde está Rita? —Durmiendo.
C’était un vendredi, et l’idée était la suivante : ils déjeuneraient tard, ou dîneraient tôt, ou prendraient un thé avec des sandwichs, vers cinq heures et demie, et puis, pour ceux qui voulaient, il y aurait une voiture, sponsorisée par Adriano, pour une sorte de boîte de nuit à Montale. C’est en tout cas ce que Gloria, peu intéressée, apprit à Keith ; elle était assise seule dans la cour avec un carnet d’esquisses sur les genoux. Kenrik dit : « Où est Rita ? — Elle dort.
Tenía dieciséis años y ninguna experiencia con niños, aunque sí contaba con estupendas referencias del señor Hussain y de la señorita MacDonald, así como con una carta de Trish, una amiga de mamá, en la que decía que era muy buena con los niños, basándose en el hecho de que, a cambio de la merienda, había pasado un año entero quedándose las tardes de los lunes con Grant, el hijo mayor de Trish y un verdadero tontorrón, tratando de ayudarlo a aprobar las matemáticas de los últimos cursos de secundaria (un caso perdido como no había otro).
Seize ans et aucune expérience des enfants, bien qu’elle eût d’excellentes recommandations de la part de Mr Hussain et de Ms MacDonald et une lettre de Trish, l’amie de maman, disant qu’elle s’entendait très bien avec les enfants, tout ça parce que pendant un an elle avait en échange d’un dîner passé tous ses lundis soir à essayer de faire faire des maths du brevet à Grant, l’andouille de fils aîné de Trish (un cas désespéré entre tous).
«Algo portentoso le pasaría a esta gente el 18 de algún mes de algún año», pensé inútilmente. «Quizá se les apareció la Virgen masivamente a todos los habitantes sin excepción de Darmstadt». Lo que me pareció más extraño fue que en el jardín, además de macetas con plantas y parterres de flores, a la sombra de los varios árboles altos había bancos para sentarse y también mesitas redondas y sillas con brazos, todas blancas, unas cuantas colocadas y otras apiladas como cuando echan el cierre las terrazas, como si allí pudieran servirse bebidas o meriendas o aperitivos o se celebraran reuniones festivas.
« Il y a dû y avoir là un miracle, le 18 de je ne sais trop quels mois et année, me dis-je, sans trop de conviction. Peut-être la Vierge est-elle apparue à tous les habitants de Darmstadt en même temps. » Ce qui me parut plus étonnant fut d’apercevoir dans le jardin, outre les plantes et les parterres de fleurs, des bancs pour s’asseoir, à l’ombre des grands arbres, ainsi que des petites tables rondes et des chaises avec des bras, toutes blanches, les unes éparpillées de part et d’autre, les autres empilées comme pour signifier la prochaine fermeture des terrasses, donnant ainsi l’impression que l’on pouvait y servir des boissons, des en-cas ou des apéritifs ou, qui sait, s’y réunir et festoyer.
Imaginemos un cazador, iba diciéndose así mismo, imaginemos un cazador que hubiese preparado cuidadosamente su equipo, la escopeta, la cartuchera, el morral de la merienda, la cantimplora del agua, la bolsa de red para recoger las piezas, las botas camperas, imaginémoslo saliendo con los perros, decidido, lleno de ánimo, preparado para una larga jornada como es propio de las aventuras cinegéticas y, al doblar la esquina más próxima, todavía al lado de casa, le sale al encuentro una bandada de perdices dispuestas a dejarse matar, que levantan el vuelo pero no se van de allí por más tiros que las abatan, con regalo y sorpresa de los perros, que nunca en su vida habían visto caer el maná del cielo en tales cantidades.
Imaginons un chasseur, se disait-il, imaginons un chasseur qui aurait préparé amoureusement son attirail, son fusil, sa cartouchière, sa musette avec les victuailles, sa gourde d’eau, sa carnassière pour le gibier, ses brodequins, imaginons-le sortant avec ses chiens, décidé, plein d’entrain, prêt à une longue expédition comme c’est habituellement le cas avec les aventures cynégétiques, et tandis qu’il tourne le coin de rue le plus proche, tout à côté de chez lui, une compagnie de perdrix disposées à se laisser tuer traverse son chemin, elles s’envolent mais ne partent pas de là, malgré les coups de fusil qui les déciment, à la joie et à la surprise des chiens qui jamais de leur vie n’avaient vu la manne tomber du ciel en pareille quantité.
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