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Gran marea
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Fuera había una gran marea, una marea de 115.
Dehors, c’était une grande marée, une marée de 115.
Una vez que has visto la gran marea
Une fois qu’on a vu la grande marée
Y el número de gente seguía descendiendo, la gran marea de la humanidad retrocedía en todo el planeta.
La population diminuait à un rythme effarant. Les grandes marées humaines balayaient la planète.
–No es preciso sumergirse más- dije.– Según lo que he observado durante la gran marea del equinoccio, debemos estar en la línea del túnel.
– Il n’est pas nécessaire de s’immerger davantage, répondis-je. D’après ce que j’ai observé pendant la grande marée d’équinoxe, nous devons être dans l’axe du tunnel.
Había también almas que salvar en otros lugares, y las salvaría con paciencia, con toda esa ternura que le invadía como una gran marea de dulzura en cuanto veía ciertos rostros.
Ailleurs, il y avait aussi des âmes à sauver et il les sauverait par la patience, par toute cette tendresse qui l'envahissait comme une grande marée de douceur dès qu'il voyait certains visages.
Las líneas esbozadas en el fondo de la carta podrían indicar que la gran marea está sumergiendo ya la cima del árbol y toda la vegetación se deshace en un ondular de algas y tentáculos.
Les lignes qui hachurent la carte à l’arrière-plan pourraient indiquer que la grande marée submerge déjà la cime de l’arbre, toute la végétation se défait en un ondoiement d’algues et de tentacules.
La gran marea de la inteligencia humana había bajado hacía mucho, pero la gente había conservado una aguda capacidad de comprender el medio, su geografía y recursos: la capacidad de encontrar alimento de forma eficiente era esencial si uno quería sobrevivir en aquel medio árido.
La grande marée de l’intelligence humaine avait depuis longtemps reflué, mais les symbiotes avaient conservé une bonne compréhension de la Terre, de sa géographie, de ses ressources : savoir chercher sa nourriture efficacement était un don vital pour qui voulait survivre dans ce paysage désespérément aride.
Eso veía Basilicato en todo el detritus social revelado por el simple hecho de que la ciudad había dejado de pertenecerle a unos cuantos, a los de siempre… Ahora era la ciudad de todos y Basilicato vio y entendió esto, lo agradeció en su fuero más interno porque a él mismo lo vindicase: ya no era el anónimo zapatero Basilicato, ahora tenía el nombre de la gran marea que descendía de los cerros y ascendía desde el río, colmaba las plazas y pisoteaba los jardines, incendiaba los bosques y aplanaba las avenidas.
C’est ce que voyait Basilicato dans tout le détritus social révélé par le simple fait que la ville avait cessé d’appartenir à quelques-uns, toujours les mêmes… Maintenant, c’était la ville de tous, comme Basilicato le voyait et l’entendait, et il s’en réjouit tout au fond de lui parce que lui-même en était vengé : il n’était plus Basilicato, le cordonnier anonyme, désormais il portait le nom de la grande marée qui descendait des collines et remontait du fleuve, envahissait les places et piétinait les jardins, incendiait les forêts et aplanissait les avenues.
De tal suerte que cuando yo llegué a vivir, siendo aún un infante, olvidado, olvidadizo y olvidable (supongo) a la casa, ésta se encontraba ya en un estado, más que de abandono o de olvido, de deriva, como si una casa fuese un arroyo perdido en la gran marea de una ciudad asolada desde siempre por la destrucción militar, la miseria, la desigualdad, el hambre y la revuelta y a pesar de, o gracias a tanta catástrofe, empeñada en resucitar cada vez más caótica, briosa e impertinente: la Ciudad de México le pintaba un gigantesco violín al resto del país, atraído hacia ella como la proverbial mosca a la red de araña que la capturará para siempre.
De sorte que lorsque j’arrivai pour vivre, encore enfant, oublié, oublieux et oubliable (je suppose), dans cette maison, celle-ci se trouvait déjà dans un état, plus que d’abandon ou d’oubli, de dérive, comme si une maison était un ruisseau perdu dans la grande marée d’une ville ravagée depuis toujours par la destruction militaire, la misère, l’inégalité, la faim et la rébellion mais, malgré ou grâce à tant de catastrophes, acharnée à ressusciter de plus en plus chaotique, fougueuse et impertinente : la ville de Mexico faisait un gigantesque et insolent pied de nez au reste du pays, attiré par elle comme la proverbiale mouche par la toile d’araignée qui la retiendra à jamais captive.
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