Übersetzung für "la provincia vecina" auf französisch

La provincia vecina

• la province voisine

Übersetzungsbeispiele

la province voisine

Desde entonces se había dedicado a buscarle en las provincias vecinas.
Depuis lors, il avait passé son temps à fouiller les provinces voisines.

—Sí, yo soy de Harima y él del pueblo de Miyamoto, en la provincia vecina de Mimasaka.
— Oui. Je suis du Harima ; il est du village de Miyamoto dans la province voisine de Mimasaka.

Bianca procedía de una de las provincias vecinas a Honduragua; nos habíamos conocido en el avión.
Bianca est originaire d’une province voisine du Honduragua, nous avons fait connaissance dans l’avion.

Avanzando en dirección noroeste, salieron de Baocia y entraron en la provincia vecina de Tolnoxo.
Poursuivant leur route vers le nord-ouest, ils quittèrent Baocia pour la province voisine de Tolnoxo.

Cicerón se mostraba evasivo, asegurándole que había escasez de animales: puede que hayan decidido emigrar a la provincia vecina para escapar de las trampas, bromeó.
Cicéron répondit de façon évasive, assurant que les fauves se faisaient rares : sans doute s’étaient-ils avisés d’émigrer dans la province voisine pour échapper aux pièges qu’on leur tendait, écrivait-il non sans malice.

¿Este problema pertenece a la gran cuestión de las razas, a influjos físicos inobservados?… Los sabios tal vez averigüen algún día la causa de esta particularidad, que desaparece en la provincia vecina de Normandía.
Ce problème tient-il à la grande question des races, à des influences physiques inobservées ? Les savants rechercheront peut-être un jour la cause de cette singularité qui cesse dans la province voisine, en Normandie.

No había nada más que otros dos pacientes en la sala de hombres blancos: el sobrecargo de una cañonera, que tenía una pierna fracturada por una caída a través de una escotilla; y una especie de contratista ferroviario de una provincia vecina, aquejado de quién sabe qué misteriosa enfermedad tropical, el cual tenía al médico por un asno y se dedicaba a secretas orgías con una medicina específica que un criado tamil solía llevarle de contrabando, con infatigable devoción. Se narraban unos a otros la historia de sus vidas, jugaban un poco a los naipes o, bostezando y en pijama, holgazaneaban durante todo el día en sillones, sin hablar.
Il n’y avait que deux autres malades dans la salle des blancs : le trésorier d’une canonnière qui s’était cassé la jambe en tombant par une écoutille, et une sorte d’entrepreneur de chemins de fer d’une province voisine, affligé de quelque mystérieuse affection tropicale, qui tenait le docteur pour un âne, et s’adonnait à de secrètes débauches de spécialités pharmaceutiques, que son serviteur Tamil lui apportait en fraude, avec un inlassable dévouement. Ils se racontaient l’histoire de leur vie, jouaient un instant aux cartes, ou, allongés en pyjamas sur des chaises longues, bâillaient sans mot dire.