Übersetzung für "estaba he contestado" auf französisch
Übersetzungsbeispiele
—No me ha contestado.
— Vous n’avez pas répondu.
¿Qué había contestado?
Qu’est-ce qu’il avait répondu ?
—No me has contestado.
— Tu n’as pas répondu.
Ella no había contestado.
Elle n’avait pas répondu.
—Y tú, ¿qué le has contestado?
– Et tu lui as répondu?
¿Qué le has contestado?
Qu’est-ce que tu lui as répondu?
– Y tú no me has contestado.
— Et tu ne m’as pas répondu.
-Herr Held, el jefe de estación, lo dice muy a menudo -he contestado-.
– Herr Gelb, le chef de gare, le dit très souvent, répondis-je.
—Es fruto de las clases de Monsieur Presle —le he contestado. —¡Ah!, ¡el querido Presle!
– C'est le fruit des leçons de M. Presle, lui répondis-je. – Ah ! ce cher Presle !
Yo lo he llamado nada más entrar, pero no me ha contestado. —El sábado —dije—. El sábado por la tarde.
Je l’ai appelé dès mon arrivée, mais il n’était pas chez lui. — Je lui ai téléphoné samedi, lui répondis-je. Samedi après-midi.
—Nada. Y recuerdo que volví la cabeza, pues el temblor de mis labios le hubiera contestado con mayor claridad.
Je répondis : « Je n’ai rien. » Mais je détournai la tête pour cacher le tremblement de ma lèvre qui lui en aurait pu dire davantage.
—Sí —he contestado, aunque debería odiarlo por haber dicho eso: era como si estuviera estableciendo sus derechos de propiedad sobre mí.
— Oui », répondis-je. J’étais près de le haïr pour me l’avoir dit : c’était comme s’il faisait valoir ses droits.
Una vez más hoy me pregunto: "¿ La amo?", y una vez más no séqué contestarme. O más bien por centésima vez me he contestado quela odiaba.
Et une fois de plus, je me demandai : « L’aimé-je ? » et, pour la centième fois, je me répondis : « Je la hais. » Parfois, surtout à la fin de nos conversations, j’aurais donné, pour pouvoir l’étrangler, toutes les années qu’il me reste à vivre.
—Si —contesté, como es natural. Hubiera contestado que si a cualquier pregunta, pero mi madre era toda oído Por la meta que se había fijado, por el precio que pagaba, no quería llevarse un chasco.
— Oui », répondis-je évidemment. J’aurais dit oui quelle que soit la question, mais ma mère était tout oreilles. Pour le but qu’elle s’était fixé, pour le prix qu’elle payait, elle ne voulait pas être déçue.
Me ha preguntado entonces cuánto estarían mis amigos dispuestos a pagar, y le he contestado que lo que tenían pensado era un intercambio, pues tenían en su haber una extensa colección de nuevas plantas recogidas en las Américas. En ese momento, le ha centelleado la mirada y ha empezado a rascarse la palma de la mano con sus largas uñas, como si quisiera aliviar el picor de la compra. —¿Y qué plantas tienen?
Il voulut alors savoir ce qu’ils paieraient et je lui répondis que leur intention était de proposer un échange, car ils avaient avec eux une vaste collection de nouveautés originaires des Amériques. L’œil brillant, ses grands ongles grattant sa paume, comme pour calmer une démangeaison d’acquisition, il demanda alors : « Quelles plantes ont-ils ? En avez-vous apporté avec vous ? »
—Ese hombre es una tienda de instrumentos ambulante —dice Mason—. Tiene usted un amigo en verdad raro, doctor Franklin, y lleva una peluca interesante… Hasta me ha planteado un acertijo: ¿por qué es el rey como un fusilero corto de vista? «Que me aspen si lo sé», le he contestado, «pero el doctor Franklin seguro que lo sabe». —¡Señor Mason!
– Cet homme est une boutique d’Instruments ambulante, dit Mason, – quel drôle d’ami vous avez là, Docteur Franklin, – perruque intéressante… En fait, il m’a posé une devinette, –“Pourquoi le Roi ressemble-t-il à un canonnier myope ? – Eh bien, que je sois d…é si je le sais, lui répondis-je, mais le Dr Franklin le saura sûrement”. – Monsieur Mason !
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