Übersetzung für "aterrizado tenido" auf französisch

Aterrizado tenido

• atterri avait
• ces derniers avaient

Übersetzungsbeispiele

atterri avait

Hasta aquella mañana no había aterrizado en la región, aterrizado, literalmente, con un avión;
Il avait atterri dans la région, le matin même — à la lettre atterri, en avion ;

– ¿Por qué no hemos aterrizado?
— Pourquoi est-ce qu'on n'a pas atterri ?

Habían aterrizado suavemente.
Ils avaient atterri en douceur.

¿Cuándo había aterrizado?
Quand avait-il atterri ?

Había aterrizado en un césped.
Elle avait atterri sur du gazon.

El avión había aterrizado.
L’avion avait atterri.

El Cronolito había aterrizado.
Le Chronolithe avait atterri.

—¿Ha aterrizado Fabien?
– Fabien a-t-il atterri?

—¿Ha aterrizado mi marido?
– Mon mari a-t-il atterri?

Había aterrizado en otra época.
J’avais atterri à une autre époque.

ces derniers avaient

—La última mosca ha aterrizado en la tela de araña de Torina —respondió él.
— Le dernier poisson qui s’est pris dans les filets de Torina.

Más tarde supo que aquel había sido el último vuelo civil que había aterrizado en ese aeropuerto.
Ce devait être l’un des derniers vols civils à se poser sur cet aéroport.

Luego supe que el avión había aterrizado encima de la choza de su jefe y lo había matado.
J’ai appris plus tard que l’avion s’était écrasé en plein sur la maison de leur chef et que ce dernier en était mort.

Piper recordó cierto día de finales de diciembre en Chicago, cuando los tres habían aterrizado en Millennium Park en su primera misión.
Piper se rappela cette froide journée de décembre dernier, à Chicago, quand ils s’étaient posés à Millennial Park pour leur première quête.

Percy miraba con anhelo una imagen de una puesta de sol en la colina mestiza, donde el Vellocino de Oro relucía en las ramas del alto pino. —Así que hemos aterrizado —dijo Percy—. Y ahora, ¿qué?
Percy regardait d’un air mélancolique une vue du soleil se couchant sur la colline des Sang-Mêlé et de la Toison d’or, pendue dans les arbres du grand pin, qui scintillait sous les derniers rayons. – Bon, dit Percy. On s’est posés. Et maintenant ?

—Después de ti. Unas horas después hemos aterrizado en el aeropuerto de Schiphol, hemos cogido el tren a Centraal Station, nos hemos peleado con los tranvías y nos hemos registrado en un hotel familiar monísimo decorado con una plétora de filósofos: en los manteles individuales del comedor del desayuno está Hegel, en la habitación de Mo está Platón, y a mí me relegan al sótano de Kant.
— Après vous. Quelques heures plus tard, une fois sortis de l’interminable couloir des Arrivées à Schiphol, nous avons pris le train pour la Centraal Station, nous sommes débattus avec les trams et sommes descendus dans un mignon hôtel familial au confort très philosophique : Hegel sur les napperons de la table du petit déjeuner, Platon dans la chambre de Mo au dernier étage, et Kant pour le sous-sol où j’ai été relégué.