Übersetzung für "proclama" auf spanisch
Proclama
Übersetzungsbeispiele
N'est-ce pas dans cette cité qu'il proclama l'ère nouvelle de la «Grande Paix»?
¿No era en esta ciudad donde había proclamado la era nueva de la Gran Paz?
On proclama la fin de l’union avec Le Caire et la restauration de l’indépendance syrienne.
Quedó proclamado el final de la unión con El Cairo y la restauración de la independencia siria.
Pour finir, elle proclama le nom de la princesse, annoncé à la cantonade lors de son baptême si bien que toute l’assistance avait appris le nom sous lequel les dieux la connaissaient. Quelle imbécile !
Por fin, en último lugar, pronunció el nombre de la Princesa, que tan claramente había sido proclamado en su bautizo para que todos los presentes supiesen el nombre por el que la conocían los dioses. ¡La muy idiota!
Un mois plus tard, le 8 mars, un coup d’Etat similaire se produisit à Damas, où l’on proclama la fin du « séparatisme » et le désir de reconstituer une Union avec l’Egypte, l’Irak, peut-être aussi le Yémen, l’Algérie, et pourquoi pas demain le Liban, la Libye, le Koweït, le Soudan, l’Arabie, etc.
Un mes después, el 8 de marzo, hubo en Damasco un golpe de Estado similar y quedó proclamado el final del «separatismo» y el deseo de volver a construir una unión con Egipto, Irak y quizá también Yemen, Argelia y, ¿por qué no?, el día de mañana el Líbano, Libia, Kuwait, Sudán, Arabia, etc.
Tandis que Max se tordait encore de douleur, l’arbitre le proclama nouveau champion du monde, et sous les acclamations, car même à New York Schmeling était le chouchou du public. Certains des habitués, chez Franz Diener, avaient encore le reportage dans l’oreille. « Mais Sharkey était nettement le meilleur », disait l’un.
Mientras Max se retorcía de dolor, fue proclamado nuevo campeón mundial por el árbitro, y por cierto ovacionado, porque Schmeling, incluso en el Yankee Stadium de Nueva York, era el favorito. Algunos de la tertulia de Franz Diener recordaban todavía aquella emisión de radio. —¡Pero Sharkey fue claramente el mejor! —decían.
Au début des années soixante, à l'époque où il évoquait sur un ton provocateur l'imminence d'un coup d'État militaire, Djélâl avait sans doute pensé à l'un des mobiles qui l'avaient poussé à écrire des articles sur Mevlâna : un journaliste qui veut faire accepter une idée à un grand nombre de lecteurs doit être capable de ramener à la surface les idées et les souvenirs plongés dans la vase de leur mémoire, telles les carcasses de galions enfouis dans la mer Noire depuis des siècles. C'est pourquoi Galip attendit, comme tout lecteur qui se respecte, tout en relisant dans ce but les anecdotes empruntées par Djélâl à diverses sources historiques, un frémissement dans le limon de sa propre mémoire. Tout en lisant comment le Douzième Imam allait un jour plonger dans la terreur les orfèvres des ruelles du Grand Bazar qui utilisent des balances faussées, ou comment le fils du cheik, dont parle Silahtar dans son Histoire, proclamé Messie par son père, s'attaqua aux forteresses, suivi de ses bandes de forgerons et de bergers kurdes ; ou encore l'histoire de l'apprenti plongeur qui, ayant vu en rêve le Prophète assis à l'arrière d'une Cadillac décapotable blanche, glissant sur les pavés couverts de fange de Beyoglou, se proclama Messie, lui aussi, afin d'entraîner les putains, les Tziganes, les voleurs à la tire, les mendiants, les clochards, les petits vendeurs de cigarettes au marché noir, les cireurs de chaussures dans le combat qu'il voulait mener contre les proxénètes et les grands gangsters, il imaginait tous ces événements teintés du rouge brique et de l'orangé de l'aurore de sa propre vie et de ses propres rêves.
A principios de los sesenta, mientras incitaba provocativamente a un golpe militar desde sus columnas, Celâl debía haber recordado alguno de los motivos que le habían llevado a escribir sobre Mevlâna. ¡Un columnista que quiera que una gran masa de lectores acepte sus ideas debe saber revivir y sacar a la superficie el pensamiento putrefacto y el poso de recuerdos que duermen en la memoria de sus lectores como si fueran pecios de galeones desaparecidos hace cientos de años que yacieran en el fondo del mar Negro! Mientras leía las historias que Celâl había recolectado de varias fuentes históricas con tal objeto, Galip, como un buen lector, esperó que los posos de su memoria se pusieran en movimiento, pero lo único que se animó fue su imaginación. Leyendo cómo un día el duodécimo imán había sembrado el terror entre los joyeros del Gran Bazar que usaban balanzas amafiadas, o cómo el hijo del Jeque, que había sido proclamado Mahdi por su padre y cuya biografía nos narra Siláhtar en su Historia, atacó fortalezas arrastrando tras él a pastores kurdos y maestros herreros, o leyendo la historia del aprendiz de fregón que, tras soñar que Mahoma iba en el asiento trasero de un Cadillac blanco descapotable que pasaba sobre el agua asquerosa que cubría los adoquines de las calzadas de Beyoglu, se había proclamado Mahdi con la intención de levantar contra los grandes gángsteres y chulos a las putas, a los gitanos, a los carteristas, a los pordioseros, a los vagabundos, a los niños que vendían tabaco y a los limpiabotas, Galip se imaginó los colores de lo que leía como el rojo teja y el naranja amanecer de su propia vida y sus propios sueños.
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