Übersetzung für "a pensé" auf spanisch
Übersetzungsbeispiele
On est des morts qui marchent, a pensé White, mais cette pensée est repartie aussi vite qu’elle était arrivée.
Parecemos muertos vivientes, pensó el White, pero enseguida desechó aquel pensamiento.
Dans un premier temps, elle n’a pas été effrayée. Elle a pensé que c’était moi, que je désirais m’assurer qu’elle était bien rentrée, ou peut-être même bavarder un moment avec elle.
Dice que no se asustó al principio; su primer pensamiento fue que yo estaba viendo si había regresado bien y entonces charlar un momento.
Elle se rappelle ce qu’elle a pensé tandis qu’elle enveloppait cette ruine dans son chemisier : qu’il était peut-être bien amoureux d’elle, mais qu’il était aussi à moitié amoureux de la mort.
Recuerda sus propios pensamientos mientras le envolvía la mano en la blusa, que quizás Scott estaba enamorado de ella, pero también estaba medio enamorado de la muerte.
Imaginez ce qu’aurait donné la soirée chez les Richmond si chacun de nous avait eu au-dessus de la tête, reliées à elle par de petits ronds, ces bulles qu’on voit sur les bandes dessinées, contenant leurs réflexions intimes. » Il regarde Helen dans les yeux, comme s’il s’interrogeait sur ce qu’elle a pensé en secret lors de ce dîner.
Imagínate lo que habría sido la cena de los Richmond si todo el mundo hubiera tenido esos bocadillos encima de la cabeza que hay en los tebeos de los niños revelando sus reflexiones íntimas… Al decir esto mira directamente a los ojos de Helen, como conjeturando acerca de sus pensamientos en aquella velada.
Elisabeth a pensé que son père qui avait passé sa vie entière à observer les étoiles enfouissait à présent son visage dans la terre boueuse et argileuse de la cave… Ensuite elle a regardé le sabbathien et, en voyant son visage indifférent et calme, elle a senti la prétention et la fausseté de sa métaphore.
La joven piensa que su padre, que se ha pasado la vida observando las estrellas, ha acabado arrastrándose por el suelo pringoso de un sótano… Pero luego mira al sabatario y se siente avergonzada, porque ante aquel rostro indiferente y tranquilo la retórica de su pensamiento se le antoja falsa y patética.
Il se disait convaincu « que l'approche de cette tragédie par un écrivain peut largement compléter et transcender d'autres visions, plus réductrices, telles que celles de la psychiatrie ou d'autres sciences humaines » et tenait à me persuader et à se persuader lui-même que « toute “récupération narcissique” » était « loin de (s)a pensée (consciente, du moins) ».
Se declaraba convencido «de que la forma de ver que un escritor tiene de esta tragedia puede completar y trascender ampliamente otras visiones, más reductoras, como las de la psiquiatría u otras ciencias humanas», y porfiaba en persuadirme y persuadirse de que «toda recuperación narcisista» estaba «lejos de su pensamiento (al menos consciente)».
s’écria Kattrinna, dire qu’elle a pensé à cela ! Les paroles de Jan bouleversaient Kattrinna, car elles étaient l’expression de sa propre pensée. Elle en oublia que sa fille n’avait vraiment pu revenir à la rame jusqu’au débarcadère et parler à Jan sans qu’elle-même s’en fût aperçue. – « Je suis donc revenue pour réunir vos mains, afin que jamais plus vous ne lâchiez prise, mais teniez bon, pour l’amour de moi, jusqu’à ce que je revienne vous prendre chacun par la main comme autrefois, a-t-elle dit. Et puis, vite elle s’en est allée dans son canot ». L’homme et la femme sur le débarcadère se taisaient.
—exclamó Katrina, tan impresionada por aquellas palabras que parecían reflejar con fidelidad sus pensamientos que olvidó que estaban hablando de un producto de la imaginación de su esposo. —«Y a eso he vuelto —siguió comunicando Jan a Katrina el mensaje de su hija—, a unir vuestras manos y a pediros que, si me queréis, nunca las soltéis, sino que las mantengáis firmemente unidas hasta el día en que yo vuelva y de nuevo pueda conduciros de la mano.»
On peut remarquer que ce mot composé aurait alors été absolument identique dans sa forme à l’invention de Tolkien *hol-bytla, qui donne au pluriel (et plusieurs critiques de Tolkien se sont trompés sur ce point, y compris C.S. Lewis) *hol-bytlan. Dans les deux cas, le premier élément du composé est un mot commun et familier, puisque ce n’est rien de plus que les mots courants pour « bois » et « trou », mais le deuxième élément est rare ou inconnu : et le résultat désigne une créature non humaine que l’on ne peut deviner que par le mot. Tolkien a pensé, en bref, que le poète de Gauvain aurait dû écrire wod-wosen, pas wodwos ; mais lui ou le copiste ont cru, à tort, que le -s à la fin de ce mot rare wodwos était déjà un pluriel. Une fois arrivé là cependant, la question suivante (une question naturelle mais hors du champ de compétences des philologues) était : « Que sont donc alors que ces wood-woses ? » Tolkien répond à cette question dans le Livre V/5 du Seigneur des Anneaux, où nous rencontrons, pour un moment, les « Woses », ou « Hommes Sauvages des Bois ».
Esta palabra compuesta, podría observarse, habría tenido una forma absolutamente idéntica a la de la invención posterior de Tolkien *hol-bytla, plural (algunos críticos de Tolkien la han escrito mal, incluido C. S. Lewis) *hol-bytlan. En ambos casos el primer elemento del compuesto es común y familiar, ya que no se trata más que de las palabras corrientes para «madera» y «agujero», pero el segundo elemento es raro o desconocido: y el compuesto designa una criatura no humana que debe adivinarse a partir sólo de la palabra. Tolkien pensaba, dicho en pocas palabras, que el poeta del Gawain debería haber escrito wod-wosen, no wodwos; pero él o el copista habían dado por supuesto, equivocadamente, que la -s del final de la rara palabra wodwos era ya un plural. Una vez llegado hasta aquí, sin embargo, la siguiente pregunta (una pregunta natural, pero que no podía responderse con la filología) era: «¿Qué son entonces estos woses del bosque?». Tolkien la respondió en el libro V, 5 de El señor de los anillos, donde nos encontramos, por un momento, con «los Hombres Salvajes de los Bosques» o Woses. Otro elemento de su pensamiento en esta fase, sin embargo, pudo muy bien ser lo siguiente.
Il a pensé à tout cela.
Él pensó todo esto.
— Elle a pensé que nous serions suivies.
Pensó que nos seguirían.
C’était mieux, elle a pensé.
Pensó que era mejor.
Elle a pensé que c’était important.
Pensó que era importante.
Il a pensé qu’elle serait... infructueuse.
Pensó que sería… inútil.
C’est ce qu’il a pensé de moi au début.
Eso es lo que pensó de mí al principio.
— C’est ce qu’a pensé M. Manuel.
– Eso pensó don Manuel.
— Il y a pensé, Doc.
   —Pensó hacerlo, Doc.
Pratt a pensé à tout.
Pratt pensó en todo.
— Katrine y a pensé.
—Fue idea de Katrine.
Qui est-ce qui a pensé à vous faire embarquer ? — Fallut !
¿Quién tuvo la idea de hacerla embarcar? —Fallut.
On a pensé l’inculper, pour la forme, mais j’ai fait de mon mieux pour le lui éviter.
Se hablaba de enjuiciarlo, pero yo contribuí a que se descartara la idea.
« Pourquoi personne d’autre n’y a pensé ? demanda Hugh.
—¿Por qué no se le ha ocurrido a nadie más esa idea? —preguntó Hugh.
L’homme n’a pas de travail et il a pensé qu’il pourrait devenir médium.
Está sin trabajo y se le ha ocurrido la idea de ganarse la vida como médium.
Le général a pensé que cela vous permettrait peut-être de vous faire une meilleure idée de l’homme et de son caractère.
El general creyó que podría ayudarle a hacerse una idea mejor del hombre, de cómo era y, nunca se sabe, quizá de por qué lo mataron.
Alors quand la trêve a été négociée, il a pensé que c’était là un signe.
Y cuando negociaron este período de reflexión de tres meses, lo interpretó como una señal.
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