Übersetzung für "être consolée" auf spanisch
Être consolée
Übersetzungsbeispiele
j’ai besoin de savoir et d’être consolé. – Consolé de quoi? – De mon malheur.
necesito saber y ser consolado. —Consolado ¿de qué? —De mi desgracia.
Il agissait par amour pour Domitila, et si elle avait besoin d’être consolée, il resterait à ses côtés le temps nécessaire.
Todo lo hacía por amor a Domitila, y si ahora necesitaba ser consolada, él se quedaría a su lado el tiempo necesario.
La crise étant passée, il poursuivit sa route, incapable de penser à autre chose qu’à sa présente faiblesse physique et à son désir d’être consolé par sa femme.
Cuando pasaron, siguió cabalgando, pero no pudo pensar en nada más que en su debilidad física y en el deseo de ser consolado por su mujer.
Être consolée, comprise par Lilian, c’était s’étendre pour y pleurer dans une grotte remplie de fougères, où l’air humide et chaud, la caresse visqueuse et froide des pousses à demi déroulées, vous détend, vous démoralise et vous pénètre.
Ser consolada y comprendida por Lilian era como echarse a llorar en una cueva repleta de helechos cuyo aire es bochornoso y cuyas húmedas frondas nos rozan, nos desmoralizan y nos apabullan.
La capiteuse odeur des terreaux sous l’arrosage, la secrète vapeur d’immondices qui nourrit les fleurs grasses et coûteuses, les perles d’eau chassées par la brise, il les aspira d’une longue haleine et découvrit, dans le même moment, qu’il avait besoin d’être consolé.
Aspiró con una larga bocanada el embriagador perfume de los mantillos recién regados, el secreto vapor de las inmundicias que alimentan las flores grasas y costosas, las perlas de agua perseguidas por la brisa, y en el mismo instante descubrió que necesitaba ser consolado.
Par une tristesse sans pensée, qui ne demandait rien, n’imposait rien, ne pouvait rien dire, ni être consolée, cela était seulement vide, nous séparait sèchement, comme si elle eût été à un bout du temps et moi à un autre bout, — et cela dans le même instant et dans le côte à côte d’une commune présence.
Una tristeza sin pensamiento, que no pedía nada, no imponía nada, no podía decir nada, ni ser consolada, todo ello era solamente vacío, nos separaba secamente, como si ella hubiera estado en un cabo del tiempo y yo en el otro cabo, —y todo ello dentro del mismo instante y dentro del lado a lado de una común presencia.
José Anaiço qui vient de prononcer cette sentence a peut-être raison, il se peut que l’homme soit cet animal qui ne peut ou ne sait ou ne veut pas être consolé, mais certains de ses actes, qui n’ont pas d’autre sens que de paraître n’en pas avoir, permettent d’entretenir l’espoir qu’un homme viendra un jour pleurer sur l’épaule d’un autre homme, trop tard, probablement, quand il n’y aura plus rien à faire.
Quizá José Anaiço, que fue el de la sentencia, tenga razón, tal vez el hombre sea ese animal que no puede, o no sabe, o no quiere ser consolado, pero ciertos actos suyos, sin más sentido que parecer que no lo tienen, sustentan la esperanza de que el hombre vendrá un día a llorar en el hombro del hombre, probablemente cuando sea demasiado tarde, cuando ya no haya tiempo para otra cosa.
Pendant les années 1990, il a enterré trois garçons assassinés, dont Pascal B., et en arrivant dans sa paroisse du continent, trois ans plus tôt, il a célébré la messe des funérailles d’une petite fille de cinq ans, renversée par une voiture, il a passé la nuit précédente en prières, il aurait voulu renoncer à son homélie, ne pas avoir à prononcer la moindre parole personnelle et n’ouvrir la bouche que pour dire ce qui était prescrit car qui voudrait être consolé quand le Seigneur Lui-même est en larmes ?
Durante la década de los noventa, enterró a tres muchachos asesinados, entre ellos Pascal B., y nada más llegar a su parroquia del continente, tres años antes, tuvo que celebrar el funeral de una niña de cinco años atropellada por un coche. Pasó la noche anterior rezando, habría preferido renunciar a su homilía, no tener que pronunciar la más mínima palabra personal y no abrir la boca salvo para decir lo que estaba prescrito, pues ¿quién querría ser consolado cuando el propio Señor está llorando?
La femme regarda autour d’elle, comme cherchant où s’asseoir, mais une place à Bethléem en Judée n’est pas comme le jardin de São Pedro de Alcantara, avec des bancs et une jolie vue sur le château, ici nous nous asseyons par terre dans la poussière, au mieux sur le seuil des portes ou, si un tombeau se trouve à proximité, sur la pierre placée à côté de l’entrée pour le repos et le délassement des vivants qui viennent pleurer leurs chers disparus, ou même, qui sait, pour le repos et le délassement des fantômes qui sortent de leur propre tombeau pour pleurer les larmes qui leur restent encore de la vie, comme c’est le cas de Rachel, ici tout près, en vérité il est écrit, C’est Rachel qui pleure ses enfants et qui ne veut pas être consolée, car ils n’existent plus, il n’est pas besoin d’avoir la subtilité d’Œdipe pour voir que le lieu est en accord avec la situation et que les pleurs le sont avec leur cause.
La mujer miró a su alrededor como si buscara donde sentarse, pero una plaza de Belén de Judea no es lo mismo que el jardín de San Pedro de Alcántara, con bancos y vista apacible al castillo, aquí nos sentamos en el polvo del suelo o, en el mejor de los casos, en el umbral de las puertas o, si hay una tumba, en la piedra que se deja al lado de la entrada para el reposo y desahogo de los vivos que vienen a llorar a sus seres queridos, o incluso, quién sabe, de los fantasmas que salen de sus tumbas para llorar las lágrimas que sobraron de la vida, como es el caso de Raquel, aquí tan cerca, en verdad está escrito, es Raquel quien llora a sus hijos y no quiere ser consolada porque ya no existen, no es preciso tener la astucia de Edipo para ver que el sitio condice con la situación y el llanto con la causa.
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