Übersetzung für "à devour" auf spanisch
Übersetzungsbeispiele
Le grand charme de votre sexe, c’est l’affection ardente, prête au sacrifice et au dévouement ; et nous voyons dans cette affection son aptitude à compléter en la perfectionnant notre propre existence.
El gran encanto de tu sexo es la capacidad para sentir un ardiente y abnegado afecto, y en ello vemos su idoneidad para proteger y completar la existencia del nuestro.
Rallie-toi à ceux qui s’exposent et qui ne craignent pas d’être vulnérables : ceux-là ont compris que l’on ne peut s’améliorer qu’en regardant ce que fait son prochain, non pas pour le juger, mais pour admirer son dévouement et son courage.
Únete a los que se exponen y no temen ser vulnerables: porque entienden que sólo podemos mejorar cuando vemos lo que hace el prójimo, no con el fin de juzgarlo sino para admirarlo por su dedicación y coraje.
Bien que l’orgueil de Godefroi ne puisse guère être mis en doute, il est plus légitime d’estimer que l’attitude des autres barons s’explique par leur propre fierté de grands seigneurs, trop habitués à ne courber la tête devant personne — on le voit bien dans les lignes que Raoul de Caen et Tudebode consacrent à Tancrède (voir plus haut) : même pour ce prince normand d’assez petite noblesse, le fait de « servir », fût-ce un duc de l’Empire, fût-ce l’avoué du Saint-Sépulcre, était une honte qu’on ne pouvait expliquer que par un grand dévouement à la cause de Jésus-Christ.
Aunque no pueda dudarse del orgullo de Godofredo, es más razonable considerar que la actitud de los demás barones se explica por su propio orgullo de grandes señores, demasiado acostumbrados a no inclinar la cabeza ante nadie. Lo vemos bien en las mencionadas líneas que Raúl de Caen y Tudebode consagran a Tancredo: hasta para este príncipe normando de no muy elevada nobleza, el hecho de «servir», tanto si se trataba de un duque del imperio como del defensor del Santo Sepulcro, era una vergüenza que sólo podía explicar una total entrega a la causa de Jesucristo.
M. Pecksniff, le sourire aux lèvres, allait parler quand le vieillard l’arrêta. « Je devine ce que vous allez dire. C’est tout à fait inutile. Vous me direz à cela que vous n’avez jamais songé à chose pareille ; que, sur un point qui touche de si près au bonheur de votre chère enfant, vous ne pouvez, en père dévoué, exprimer une opinion, et ainsi de suite. Tout cela est bel et bon, et je vous reconnais là. Mais il me semble à moi, mon cher Pecksniff, ajouta Anthony en appuyant sa main sur la manche de son interlocuteur, que, si vous et moi nous prolongeons cette plaisanterie qui consiste à ne rien voir, il y en a un de nous deux qui pourra se trouver placé dans une position embarrassante or, comme je ne désire point que ce soit moi, vous m’excuserez d’avoir tout d’abord pris la liberté de jeter du jour sur la question et de la poser nettement, pour que nous l’envisagions telle qu’elle est.
El señor Pecksniff, sonrió amable y se disponía a decir algo, pero Anthony le interrumpió. —Ya sé lo que va a decir. No hace falta que lo diga. Que no se había parado a pensarlo y que, tratándose de algo que afecta a la felicidad de su querida hija, no podría, como padre afectuoso que es, expresar una opinión y demás… Todo eso está muy bien. ¡Y es muy propio de usted! Pero a mí me da la impresión, mi querido Pecksniff —añadió poniéndole la mano en la manga—, de que, si usted o yo continuamos fingiendo que no vemos lo que está pasando, uno de los dos podría acabar en una posición de desventaja; y, como ese no tengo la intención de ser yo, me excusará que me tome la libertad de exponer tan pronto la cuestión para no dejar lugar a dudas, y que quede claro que los dos lo hemos visto y lo sabemos.
Je dépouille les journaux et découpe les avis mortuaires. Ce genre de travail me réconcilie toujours avec l’humanité, surtout après des soirées de beuveries avec nos agents et fournisseurs. S’il faut en croire les faire-part, l’être humain serait absolument parfait : pères irréprochables, époux vertueux, enfants accomplis, mères dévouées jusqu’au sacrifice, grands-parents unanimement regrettés, hommes d’affaires prenant des allures de saint François d’Assise, généraux ruisselants de bonté, procureurs accessibles à la pitié, fabricants de munitions presque désintéressés, bref, la terre semble habitée par des légions d’anges dont les ailes ne poussent qu’après la mort. C’est une floraison de vertus mirifiques, fidèles soucis, parfaits désintéressements.
Estoy leyendo el periódico vespertino y recortando las notas necrológicas. Esto siempre me regocija y me devuelve la fe en la humanidad —especialmente después de las noches en que nos vemos obligados a agasajar a nuestros proveedores o agentes. Si todo concordara con las notas necrológicas, el hombre sería absolutamente perfecto. En ellas sólo encuentra uno padres excelentes, maridos inmaculados, hijos modelo, madres abnegadas, dispuestas a todos los sacrificios, abuelos llorados por todos, hombres de negocios de una generosidad y de una mansedumbre junto a los cuales san Francisco de Asís nos parecería un egoísta y desalmado especulador, generales rezumando bondad, fiscales humanos, fabricantes de municiones poco menos que santos— en suma, el mundo parece haber estado poblado por una multitud ingente de ángeles sin alas sin que uno se enterara de ello. El puro amor tan difícil de hallar en el mundo de la realidad, irradia por doquier, en la muerte y es de todas las virtudes la más común.
Svidrigaïlov est le voluptueux médiocre, il a de petits vices, c’est un petit animal malpropre, un frelon des sens ; l’autre, l’étudiant anonyme, c’est la méchanceté intellectuelle appliquée à la perversité sexuelle ; un monde sépare ces êtres, qu’on groupe ordinairement sous la même rubrique. Or, de même que Dostoïevski décompose la volupté et remonte à ses racines, à ses composantes les plus mystérieuses, de même il ramène tout sentiment, tout instinct à l’origine de toute force, à l’antinomie ultime entre le moi et le monde : l’égoïsme et le dévouement, la fierté et l’humilité, la prodigalité et l’économie, la solitude et la vie en commun, la force centripète et la force centrifuge, à l’antinomie entre l’exaltation du moi et son anéantissement, entre le moi et Dieu. Qu’on prenne les antinomies que l’on voudra, ce seront toujours les dernières, les sentiments ultimes du monde qui sont entre l’esprit et la chair.
Svidrigáilov es un mediocre de la sensualidad que tiene «pequeños vicios» en vez de vicios, es un bicho sucio, un insecto de los sentidos, y el estudiante anónimo de El adolescente es, en cambio, la perversión de la maldad espiritual trasladada a la esfera del sexo. Vemos, pues, que hay mundos de sentimientos que separan a estos hombres, aun cuando un solo concepto los engloba, y así como aquí la lujuria está diferenciada y disuelta en sus misteriosos componentes y ramificaciones, así también en Dostoievski todo sentimiento, todo instinto, es analizado hasta el fondo, hasta la fuente de la que manan todas las fuerzas, hasta la postrer antinomia entre el yo y el mundo, entre afirmación y entrega de la persona, entre orgullo y humildad, disipación y sobriedad, aislamiento y vida social, fuerza centrípeta y centrífuga, exaltación de uno mismo o autodestrucción, yo o Dios. Según el momento, podemos dar los nombres que queramos a estos pares contrarios, pero en el fondo son siempre los mismos: los sentimientos últimos y primitivos del mundo que se mueve entre el espíritu y la carne.
Quand je contemple son petit museau si noir et si fin, ses yeux dorés où je lis tant d’intelligence et de dévouement, je ne peux m’empêcher de l’aimer.
Cuando le veo el hocico tan negro y tan fino, los ojos dorados, tan expresivos de inteligencia y devoción, no puedo sino quererla.
Que Tarnopol l’ait voulu ou non, je vois dans le dévouement de Zuckerman à Lydia (cette absence de joie, cette nullité du plaisir sexuel, ces scrupules et cette motivation furieusement éthique) une sorte d’allégorie de Tarnopol et de sa Muse.
Haya sido o no intención de Tarnopol, en el acendrado cariño de Zuckerman hacia Lydia, con su falta de alegría, su falta de sexualidad, sus escrúpulos, sus demenciales motivaciones éticas, veo una especie de alegoría sobre Tarnopol y su musa.
– Je me trouve devant une assemblée d’êtres humains qui refusent d’affronter cette réalité : il existe à St. Louis une conspiration dévouée à l’anarchie, aux doctrines socialisantes, au renversement de l’État et de toutes les valeurs qui nous sont le plus chères.
Veo aquí a un grupo de seres humanos que se niega a entender el hecho de que en St. Louis tenemos una conspiración en marcha, una conspiración dedicada a la anarquía y a propuestas socialistas y al derrocamiento del gobierno y de los valores que todos nosotros apreciamos.
En tant que garde personnelle de l’archiprélat, ils sont totalement dévoués à la défense de la Basilique. (Dolmant se carra dans son fauteuil et tapa le bout de ses doigts les uns contre les autres.) Je ne vois pas d’autre choix, Vanion. (Son visage maigre d’ascète semblait presque rayonner à la lumière des chandelles.) Emban avait raison, vous savez.
Como guardia personal del archiprelado, su cometido exclusivo es la defensa de la basílica. —Dolmant recostó la espalda en la silla, juntando las yemas de los dedos—. No veo que tengamos otras alternativas, Vanion—observó con el enjuto y ascético rostro casi reluciente a la luz de la vela—. Emban tenía razón.
Il ne rentrait à la résidence du commandant en chef que pour manger et dormir, mais malgré l’évidence de la transformation, de l’abstinence et du dévouement, Shahbanou continuait à le considérer comme un faucon, et en particulier parce que sa silhouette déjà imposante s’arrondit encore à cette époque, à tel point que quand il disait à l’ayah pour plaisanter : « Alors, Banou, est-ce que je suis devenu un bon garçon ? » elle lui répondait avec le plus grand sérieux : « Omar sahib, je vois que vous vous remplissez de Dieu sait quoi, et ce n’est sûrement pas la nourriture puisque vous mangez si peu, aussi m’est avis que dans peu de temps vous n’allez plus vous contrôler et vous allez exploser.
sólo para comer y dormir, pero, a pesar de todas sus demostraciones de reforma, abstinencia y dedicación, Shahbanou seguía vigilándolo como un halcón, y no en pequeña medida porque la figura de él, ya ancha de por sí, se hizo más corpulenta aún en aquellos tiempos, de forma que, cuando bromeaba con el ayah: —Pero bueno, Banou, ¿me porto bien o no? —ella le respondía seriamente—: Omar Sahib, veo que te llenas de Dios sabe qué, y comes tan poco que no puede ser de comida, de modo que, por lo que yo puedo decir, sólo es cuestión de tiempo el que pierdas el control o estalles.
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